C'est érigé sur un tracteur que le sous-préfet de Saint-Pierre, Jean-Luc Lhemanne, a commencé à s'adresser aux éleveurs laitiers. La direction de la Cilam est d'accord pour échanger avec eux, mais le sous-préfet leur demande encore un peu de patience concernant le déversement du lait du jour.
Pour les éleveurs, ça ne peut plus attendre, le risque étant de devoir encore une fois perdre des litres de lait. Face à la colère de quelques hommes, le sous-préfet a quelque peu haussé le ton.
Il a notamment rappelé que "les grévistes sont chez eux, et que les policiers sont présents pour éviter tout affrontement". Ce à quoi les éleveurs laitiers ont répondu : "La Cilam c'est chez nous !"
Les salariés grévistes de la Cilam n'ont pour leur part toujours pas retrouvé la table des négociations.
Pour les éleveurs, ça ne peut plus attendre, le risque étant de devoir encore une fois perdre des litres de lait. Face à la colère de quelques hommes, le sous-préfet a quelque peu haussé le ton.
Il a notamment rappelé que "les grévistes sont chez eux, et que les policiers sont présents pour éviter tout affrontement". Ce à quoi les éleveurs laitiers ont répondu : "La Cilam c'est chez nous !"
Les salariés grévistes de la Cilam n'ont pour leur part toujours pas retrouvé la table des négociations.