La Cité des dirigeants entrera dans la postérité pour avoir dupé la vigilance de nombreuses collectivités en un temps record. Parmi elles, la Cinor et la Civis qui ont mis généreusement la main au pot pour une structure toute récente et présentant peu de garanties sur le plan comptable.
Tous ces protagonistes devront livrer leur version dans ce montage financier qui aurait surtout profité au train de vie de Christophe Di Donato, ex-président de cette structure. Les montants publics conséquents attribués au moment de la création de la Cité interpelle également. Sur ce volet, des élus de premier plan sont attendus à la barre du tribunal correctionnel.
Gérald Maillot devra répondre de détournement de fonds publics tandis que Michel Fontaine devra répondre de négligence, selon le Quotidien, dans ce dossier à plusieurs millions d’euros injectés dans une structure imaginée pour délivrer des formations de haut niveau aux cadres de collectivités et aux chefs d'entreprise de La Réunion. A l'époque, la SCIC Cité des Dirigeants est lancée dans le but de "créer un hub d'acteurs économiques publics - privés dans une démarche innovante : permettre le dialogue et amener réflexion, concertation, co-construction au service des territoires", promettait son slogan.
Les rôles qu’ont joué les têtes pensantes de la Cité des dirigeants et de la Cinor seront particulièrement scrutés. L’intercommunalité du nord était particulièrement active dans ce dossier en devenant la première collectivité à adhérer au projet. C’est la raison pour laquelle les charges retenues à l’encontre de son ancien président Gérald Maillot sont lourdes. L’ancien élu, défait lors des récentes municipales, n’a, cependant, eu de cesse de se poser en victime des agissements de la direction de la Cité des dirigeants. L'intercommunalité du sud avait emboîté le pas à la Cinor en déroulant également le tapis rouge aux dirigeants de la Cité des dirigeants.
Christophe Di Donato avait quitté la barre de la société coopérative d'intérêt collectif juste avant une assemblée générale au cours de laquelle la présentation des comptes devait être présentée. Il devra répondre d’escroquerie et d’abus de biens sociaux.
Tous ces protagonistes devront livrer leur version dans ce montage financier qui aurait surtout profité au train de vie de Christophe Di Donato, ex-président de cette structure. Les montants publics conséquents attribués au moment de la création de la Cité interpelle également. Sur ce volet, des élus de premier plan sont attendus à la barre du tribunal correctionnel.
Gérald Maillot devra répondre de détournement de fonds publics tandis que Michel Fontaine devra répondre de négligence, selon le Quotidien, dans ce dossier à plusieurs millions d’euros injectés dans une structure imaginée pour délivrer des formations de haut niveau aux cadres de collectivités et aux chefs d'entreprise de La Réunion. A l'époque, la SCIC Cité des Dirigeants est lancée dans le but de "créer un hub d'acteurs économiques publics - privés dans une démarche innovante : permettre le dialogue et amener réflexion, concertation, co-construction au service des territoires", promettait son slogan.
Les rôles qu’ont joué les têtes pensantes de la Cité des dirigeants et de la Cinor seront particulièrement scrutés. L’intercommunalité du nord était particulièrement active dans ce dossier en devenant la première collectivité à adhérer au projet. C’est la raison pour laquelle les charges retenues à l’encontre de son ancien président Gérald Maillot sont lourdes. L’ancien élu, défait lors des récentes municipales, n’a, cependant, eu de cesse de se poser en victime des agissements de la direction de la Cité des dirigeants. L'intercommunalité du sud avait emboîté le pas à la Cinor en déroulant également le tapis rouge aux dirigeants de la Cité des dirigeants.
Christophe Di Donato avait quitté la barre de la société coopérative d'intérêt collectif juste avant une assemblée générale au cours de laquelle la présentation des comptes devait être présentée. Il devra répondre d’escroquerie et d’abus de biens sociaux.