
Hier, on apprenait que Christine Soupramanien avait été évincée de la Civis et par conséquence du Scot Grand Sud. Le mois dernier, le Scot avait été l'objet d'une passe d'armes entre le député-maire de Saint-Joseph, Patrick Lebreton, et Michel Fontaine, le Président de la Civis. L'enjeu : le contrôle du Scot et des décisions sur l'aménagement du "Grand Sud."
Certains voyaient dans l'éviction de Christine Soupramanien, un moyen détourné de reprendre le contrôle du Scot car celle-ci votait régulièrement contre les élus de sa communauté de commune. Néanmoins, avec notamment l'arrivée des Avirons à la Civis, la répartition des élus au sein du Scot sera prochainement modifiée à l'avantage des élus de la Civis. En clair, dans tous les cas, la Civis allait reprendre la main sur le Scot, avec ou sans l'éviction de Christine Soupramanien.
Une affaire interne au Conseil municipal de Petite-Ile
Guito Ramoune, le maire de Petite-Ile a d'ailleurs précisé dans un communiqué que sa "décision de retirer ses délégations à Christine Soupramanien (...) relève de la gestion d'une affaire purement locale. Il s'agit là d'une affaire interne au Conseil municipal de Petite-Ile (...) Ensuite, en aucun cas cette affaire n'est consécutive aux divergences qui peuvent exister entre le président du Smep Scot et celui de la Civis s'agissant des positionnements de l'un ou de l'autre sur le développement et l'aménagement de la micro-région Sud."
Guito Ramoune souligne enfin que "Patrick Lebreton est un ami et un camarade. Et je ne saurais admettre toute utilisation de cette affaire comme élément qui pourrait laisser croire à des désaccords entre nos deux équipes municipales qui partagent les mêmes valeurs d'égalité et de justice sociale. Ceux qui, à dessein, souhaitent utiliser cette affaire dans ce sens se trompent de combat."
Christine Soupramanien conserve toute la confiance de Patrick Lebreton
De son côté, Patrick Lebreton a précisé qu'il ne ferait "pas d'ingérence dans les affaires gérées par le maire de Petite Ile, qui choisit seul ses collaborateurs et collaboratrices." Pour autant, le député-maire de Saint-Joseph "regrette qu'il n'y ait pas eu d'entente possible entre Guito Ramoune et Christine Soupramanien et que les incompatibilités de caractère n'aient pu être contournées."
Patrick Lebreton "apprécie le travail mené par ma suppléante, qui a toujours été loyale et honnête, constante dans son engagement." Il dit partager avec elle "une vision équilibrée de l'aménagement et du développement de notre micro-région."
"Christine Soupramanien conserve bien sûr toute ma confiance" conclut-il.
Certains voyaient dans l'éviction de Christine Soupramanien, un moyen détourné de reprendre le contrôle du Scot car celle-ci votait régulièrement contre les élus de sa communauté de commune. Néanmoins, avec notamment l'arrivée des Avirons à la Civis, la répartition des élus au sein du Scot sera prochainement modifiée à l'avantage des élus de la Civis. En clair, dans tous les cas, la Civis allait reprendre la main sur le Scot, avec ou sans l'éviction de Christine Soupramanien.
Une affaire interne au Conseil municipal de Petite-Ile
Guito Ramoune, le maire de Petite-Ile a d'ailleurs précisé dans un communiqué que sa "décision de retirer ses délégations à Christine Soupramanien (...) relève de la gestion d'une affaire purement locale. Il s'agit là d'une affaire interne au Conseil municipal de Petite-Ile (...) Ensuite, en aucun cas cette affaire n'est consécutive aux divergences qui peuvent exister entre le président du Smep Scot et celui de la Civis s'agissant des positionnements de l'un ou de l'autre sur le développement et l'aménagement de la micro-région Sud."
Guito Ramoune souligne enfin que "Patrick Lebreton est un ami et un camarade. Et je ne saurais admettre toute utilisation de cette affaire comme élément qui pourrait laisser croire à des désaccords entre nos deux équipes municipales qui partagent les mêmes valeurs d'égalité et de justice sociale. Ceux qui, à dessein, souhaitent utiliser cette affaire dans ce sens se trompent de combat."
Christine Soupramanien conserve toute la confiance de Patrick Lebreton
De son côté, Patrick Lebreton a précisé qu'il ne ferait "pas d'ingérence dans les affaires gérées par le maire de Petite Ile, qui choisit seul ses collaborateurs et collaboratrices." Pour autant, le député-maire de Saint-Joseph "regrette qu'il n'y ait pas eu d'entente possible entre Guito Ramoune et Christine Soupramanien et que les incompatibilités de caractère n'aient pu être contournées."
Patrick Lebreton "apprécie le travail mené par ma suppléante, qui a toujours été loyale et honnête, constante dans son engagement." Il dit partager avec elle "une vision équilibrée de l'aménagement et du développement de notre micro-région."
"Christine Soupramanien conserve bien sûr toute ma confiance" conclut-il.