
Bien qu’ayant fortement diminué, la transmission du chikungunya s’est maintenue durant l’hiver austral. Deux cas autochtones probables viennent encore d'être identifiés et confirmés dans la commune de Saint-Denis (1 à la Montagne et 1 dans le centre-ville).
La surveillance a été renforcée et les médecins situés dans les zones où ont été rapportés les cas ont été invités à signaler quotidiennement tout syndrome dengue-like (Tout patient présentant les symptômes suivants : Fièvre d’apparition brutale (>38.5°C) AVEC association de un ou plusieurs symptômes non spécifiques suivants : douleurs musculo-articulaires, manifestations hémorragiques, céphalées frontales, asthénie, signes digestifs, douleur rétr- orbitaire, éruption maculo-papuleuse et en l’absence de tout autre point d’appel infectieux).
La persistance d’une circulation virale locale et l’arrivée de l’été austral avec des conditions de température et de pluviométrie favorables au développement des moustiques peuvent laisser craindre une recrudescence du nombre de cas de chikungunya sur l’île au cours des semaines à venir.
Rappelons que l’identification d’un cas de chikungunya autochtone, confirmé biologiquement le 28 mars 2010 avait justifié l’émission d’une alerte à la Réunion et entraîné un renforcement immédiat de la surveillance. La surveillance renforcée a ensuite permis d’identifier rétrospectivement deux autres cas : un premier cas confirmé par séroconversion avec une date de début des signes au 4 mars et un cas probable au 21 février.
Le nombre hebdomadaire de cas confirmés a, par la suite, augmenté à partir de la fin mars (semaine 12) pour se stabiliser autour d’une dizaine de cas jusqu’à la mi-mai. Il a ensuite commencé à diminuer progressivement. A partir de la fin juin (semaine 25), le nombre de cas s’est situé à un faible niveau hebdomadaire.
Au 4 octobre 2010, 153 cas autochtones ont été identifiés, dont 112 confirmés et 41 probables.
La surveillance a été renforcée et les médecins situés dans les zones où ont été rapportés les cas ont été invités à signaler quotidiennement tout syndrome dengue-like (Tout patient présentant les symptômes suivants : Fièvre d’apparition brutale (>38.5°C) AVEC association de un ou plusieurs symptômes non spécifiques suivants : douleurs musculo-articulaires, manifestations hémorragiques, céphalées frontales, asthénie, signes digestifs, douleur rétr- orbitaire, éruption maculo-papuleuse et en l’absence de tout autre point d’appel infectieux).
La persistance d’une circulation virale locale et l’arrivée de l’été austral avec des conditions de température et de pluviométrie favorables au développement des moustiques peuvent laisser craindre une recrudescence du nombre de cas de chikungunya sur l’île au cours des semaines à venir.
Rappelons que l’identification d’un cas de chikungunya autochtone, confirmé biologiquement le 28 mars 2010 avait justifié l’émission d’une alerte à la Réunion et entraîné un renforcement immédiat de la surveillance. La surveillance renforcée a ensuite permis d’identifier rétrospectivement deux autres cas : un premier cas confirmé par séroconversion avec une date de début des signes au 4 mars et un cas probable au 21 février.
Le nombre hebdomadaire de cas confirmés a, par la suite, augmenté à partir de la fin mars (semaine 12) pour se stabiliser autour d’une dizaine de cas jusqu’à la mi-mai. Il a ensuite commencé à diminuer progressivement. A partir de la fin juin (semaine 25), le nombre de cas s’est situé à un faible niveau hebdomadaire.
Au 4 octobre 2010, 153 cas autochtones ont été identifiés, dont 112 confirmés et 41 probables.