
Jean Bernard Caroupaye et les transporteurs de la FNTR avaient bloqué les différents sites de la NRL mardi
Le partage du marché du chantier de la nouvelle route du littoral pose encore problème.
Après les blocages opérés mardi dernier par les transporteurs affiliés aux groupements Transrun (Jean-Bernard Caroupaye) et Transmat (Michel Allamèle), c'est au tour de la coopérative CTTR de hausser le ton.
Son représentant, Johny Arnachellum, qui s'exprime sous la casquette de président de l'Unostra (Union Nationale des Organisations Syndicales des Transporteurs Routiers Automobiles) annonce être entré en grève illimitée ce jeudi 5 février.
Sa fédération est rejointe par deux autres syndicats professionnels du transport de marchandises, à savoir la FT2R (Fédération de transporteurs routiers réunionnais) et le SRTT (le syndicat réunionnais de transporteurs et terrassiers).
Le motif de cette nouvelle grogne entre transporteurs arrive après que des "arbitrages" réalisés par le groupement GTOI/SBTPC/VINCI aient "profité à un seul groupement de transporteurs, celui de M. Jean Bernard Caroupaye", déplore Johnny Arnachellum.
En début de semaine, ce dernier avait été accusé par le président de la FNTR d'avoir coupé la route à dix professionnels engagés sur la plateforme de préfabrication de la Butte au Port, en pratiquant une grille tarifaire anormalement basse. Soit 420 euros à la journée au lieu des 550 euros que prévoyait la charte des bonnes pratiques signée par tous les acteurs.
"La décision prise hier par le groupement GTOI/SBTPC/VINCI de faire arrêter les camions de la coopérative CTTR à la Butte du Port, qui bénéficiaient par ailleurs d'un bon de commande, nous amène à déposer un préavis de grève qui prend effet ce jeudi 5 février pour une durée illimitée", signale Johny Arnachellum.
Une conciliation va être tentée cet après-midi auprès du groupement GTOI/SBTPC/VINCI afin de permettre la réintégration des transporteurs "victimes" avant la mise à l'ordre du jour de ce dysfonctionnement au prochain comité de pilotage de la NRL obtenu hier auprès de la Région.
Après les blocages opérés mardi dernier par les transporteurs affiliés aux groupements Transrun (Jean-Bernard Caroupaye) et Transmat (Michel Allamèle), c'est au tour de la coopérative CTTR de hausser le ton.
Son représentant, Johny Arnachellum, qui s'exprime sous la casquette de président de l'Unostra (Union Nationale des Organisations Syndicales des Transporteurs Routiers Automobiles) annonce être entré en grève illimitée ce jeudi 5 février.
Sa fédération est rejointe par deux autres syndicats professionnels du transport de marchandises, à savoir la FT2R (Fédération de transporteurs routiers réunionnais) et le SRTT (le syndicat réunionnais de transporteurs et terrassiers).
Le motif de cette nouvelle grogne entre transporteurs arrive après que des "arbitrages" réalisés par le groupement GTOI/SBTPC/VINCI aient "profité à un seul groupement de transporteurs, celui de M. Jean Bernard Caroupaye", déplore Johnny Arnachellum.
En début de semaine, ce dernier avait été accusé par le président de la FNTR d'avoir coupé la route à dix professionnels engagés sur la plateforme de préfabrication de la Butte au Port, en pratiquant une grille tarifaire anormalement basse. Soit 420 euros à la journée au lieu des 550 euros que prévoyait la charte des bonnes pratiques signée par tous les acteurs.
"La décision prise hier par le groupement GTOI/SBTPC/VINCI de faire arrêter les camions de la coopérative CTTR à la Butte du Port, qui bénéficiaient par ailleurs d'un bon de commande, nous amène à déposer un préavis de grève qui prend effet ce jeudi 5 février pour une durée illimitée", signale Johny Arnachellum.
Une conciliation va être tentée cet après-midi auprès du groupement GTOI/SBTPC/VINCI afin de permettre la réintégration des transporteurs "victimes" avant la mise à l'ordre du jour de ce dysfonctionnement au prochain comité de pilotage de la NRL obtenu hier auprès de la Région.