Le communiqué :
Cela fait plusieurs années que le climat à La Réunion est marqué par la sécheresse. Le changement climatique s’est installé. C’est notamment le cas dans des régions qui, traditionnellement, étaient bien arrosées. Le dernier point de Météo France sur ce sujet est inquiétant, avec un déficit généralisé des précipitations.
Pour nos agriculteurs, c’est un problème supplémentaire qui s’ajoute à la hausse des prix des intrants. Dans l’Ouest et le Sud, les agriculteurs sont contraints d’irriguer plus souvent, les factures d’eau explosent. La CGPER demande donc au Département d’intervenir en urgence pour accompagner les irrigants, car faute de trésorerie, ils n’auront pas les moyens de payer les factures.
Pour le plus long terme, la CGPER demande au Département d’inscrire dans son budget un fonds qui permettra aux irrigants d’avoir un accompagnement face à la sécheresse chronique. Ce phénomène climatique ne pouvait être prévu dans les plans de trésorerie des agriculteurs.
La CGPER a rencontré la semaine dernière des agriculteurs de Saint-Joseph. À Carrosse, la Plaine des Grègues, les Lianes et Jean-Petit, il n’y a quasiment pas eu de pluie ces six derniers mois. À cause de cette sécheresse, la campagne sucrière y sera de nouveau désastreuse. Toutes les cultures sont touchées par une baisse des rendements. Ces agriculteurs sont situés à proximité de l’infrastructure d’interconnexion qui amène l’eau de la rivière des Remparts vers le périmètre irrigué « Bras-de-la-Plaine Bras-de-Cilaos », mais ils ne bénéficient pas d’un accès à l’irrigation.
La CGPER sollicite donc le Département, afin de permettre aux agriculteurs des Hauts de Saint-Joseph d’avoir accès à l’eau d’irrigation. Le changement climatique et la sécheresse qu’il entraîne rend en effet incontournable cet investissement.
Le Président de la CGPER
Jean-Michel Moutama
Cela fait plusieurs années que le climat à La Réunion est marqué par la sécheresse. Le changement climatique s’est installé. C’est notamment le cas dans des régions qui, traditionnellement, étaient bien arrosées. Le dernier point de Météo France sur ce sujet est inquiétant, avec un déficit généralisé des précipitations.
Pour nos agriculteurs, c’est un problème supplémentaire qui s’ajoute à la hausse des prix des intrants. Dans l’Ouest et le Sud, les agriculteurs sont contraints d’irriguer plus souvent, les factures d’eau explosent. La CGPER demande donc au Département d’intervenir en urgence pour accompagner les irrigants, car faute de trésorerie, ils n’auront pas les moyens de payer les factures.
Pour le plus long terme, la CGPER demande au Département d’inscrire dans son budget un fonds qui permettra aux irrigants d’avoir un accompagnement face à la sécheresse chronique. Ce phénomène climatique ne pouvait être prévu dans les plans de trésorerie des agriculteurs.
La CGPER a rencontré la semaine dernière des agriculteurs de Saint-Joseph. À Carrosse, la Plaine des Grègues, les Lianes et Jean-Petit, il n’y a quasiment pas eu de pluie ces six derniers mois. À cause de cette sécheresse, la campagne sucrière y sera de nouveau désastreuse. Toutes les cultures sont touchées par une baisse des rendements. Ces agriculteurs sont situés à proximité de l’infrastructure d’interconnexion qui amène l’eau de la rivière des Remparts vers le périmètre irrigué « Bras-de-la-Plaine Bras-de-Cilaos », mais ils ne bénéficient pas d’un accès à l’irrigation.
La CGPER sollicite donc le Département, afin de permettre aux agriculteurs des Hauts de Saint-Joseph d’avoir accès à l’eau d’irrigation. Le changement climatique et la sécheresse qu’il entraîne rend en effet incontournable cet investissement.
Le Président de la CGPER
Jean-Michel Moutama