Pas une télé d’informations en boucle en métropole qui ne parle des émeutes à La Réunion.
Et quand j’emploie le mot « sauvageon », je suis bien gentil en reprenant l’expression d’un ancien ministre.
Comme vous, je distingue les Gilets Jaunes, de ces « cagnards » qui mettent la Réunion dans le chaos par désoeuvrement et surtout par bêtise dans une inconscience totale. Que l’on ne me parle pas d’irresponsabilité ! Car ils sont responsables devant la loi, tout comme les parents sont responsables des actes de leurs enfants mineurs sur les lieux des manifs.
Je n’évoquerai pas les revendications de Gilets Jaunes, nous sommes à peu près tous d’accord, même si, parfois, elles divergent. Les manifestants sont issus de diverses strates de la société, avec leurs problèmes bien identifiés.
L’absurde de la situation : les sauvageons, souvent, sont sans voiture, sans emploi faute de qualification, vivant encore chez leurs parents et becqueurs de clés par moment pour ramener une petite monnaie. Leur solution pour survivre : obtenir un emploi aidé délivré par les collectivités. Mais voilà….Les crédits affectés ne sont plus ! Pas, par la faute des décideurs locaux, mais par qui vous savez…..Oui, pour moi, les emplois aidés entrent dans le cadre de la solidarité envers les plus démunis.
Le but de leurs saccages : le goût du vandalisme, le pillage des magasins et de leurs réserves d’alcool et de cigarettes. La Réunion ce n’est pas cela.
Quand cela s’arrêtera-t-il ?….Quand les rayons des magasins seront vides, et que ces même cagnards auront faim.
Le problème majeur pour la sortie de la manif des Gilets Jaunes, c’est qu’ils sont dans l’incapacité de présenter un interlocuteur reconnu de tous au Gouvernement. Bref, un chef !
Comme l’aurait dit Coluche : « misère, misère » !