C'est entourée de ses militants et une bonne partie de ses colistiers (39 noms au total sur sa liste) que Céline Sitouze, candidate sans-étiquette à Sainte-Marie, a dévoilé ce mercredi dans sa permanence du centre-ville les grandes mesures de son programme. Un projet "co-construit avec la population après plusieurs consultations citoyennes" autour de deux grands axes: l'amélioration du quotidien des familles du territoire et dynamiser Sainte-Marie pour en faire "une ville qui vit".
Enseignante depuis plus de 18 ans, Céline Sitouze est engagée en politique depuis 2008. Membre du PS jusqu’en 2018 (elle était notamment pressentie pour mener la liste PS aux dernières sénatoriales), elle a depuis pris ses distances avec les instances fédérales du parti à la rose en raison notamment d’un désaccord avec son complice de toujours de l’opposition (avec qui elle continue de siéger au conseil municipal), Christian Annette, qu’elle retrouvera comme adversaire lors de l’échéance de mars prochain. "Ces deux mandats et ces 12 années de travail passées dans l’opposition aussi bien à Sainte-Marie ou à la Cinor m’ont permis de disposer de solides connaissances sur des dossiers qui concernent aussi bien Sainte-Marie que l'intercommunalité", explique Céline Sitouze, qui souhaite proposer"une réelle alternative en terme de personnalités que de projets".
Pour ce faire, Céline Sitouze s’est entourée "de personnes engagées jamais élues, résidentes à Sainte-Marie et dont c’est le premier engagement politique" pour dit-elle, "changer l’image défavorable de Sainte-Marie qui s’étale un peu trop souvent à la une des journaux". "Lors de nos consultations citoyennes, nous avons proposé des ateliers dédiés à différents thèmes concernant les écoles, l’emploi, la famille, le développement des quartiers, la transition écologique ou encore le développement durable. Nous avons donné la parole aux habitants sur ces sujets et ils avaient beaucoup de choses à dire", indique l’élue d’opposition, "notamment l’absence de lien entre la population et les élus".
Enseignante depuis plus de 18 ans, Céline Sitouze est engagée en politique depuis 2008. Membre du PS jusqu’en 2018 (elle était notamment pressentie pour mener la liste PS aux dernières sénatoriales), elle a depuis pris ses distances avec les instances fédérales du parti à la rose en raison notamment d’un désaccord avec son complice de toujours de l’opposition (avec qui elle continue de siéger au conseil municipal), Christian Annette, qu’elle retrouvera comme adversaire lors de l’échéance de mars prochain. "Ces deux mandats et ces 12 années de travail passées dans l’opposition aussi bien à Sainte-Marie ou à la Cinor m’ont permis de disposer de solides connaissances sur des dossiers qui concernent aussi bien Sainte-Marie que l'intercommunalité", explique Céline Sitouze, qui souhaite proposer"une réelle alternative en terme de personnalités que de projets".
Pour ce faire, Céline Sitouze s’est entourée "de personnes engagées jamais élues, résidentes à Sainte-Marie et dont c’est le premier engagement politique" pour dit-elle, "changer l’image défavorable de Sainte-Marie qui s’étale un peu trop souvent à la une des journaux". "Lors de nos consultations citoyennes, nous avons proposé des ateliers dédiés à différents thèmes concernant les écoles, l’emploi, la famille, le développement des quartiers, la transition écologique ou encore le développement durable. Nous avons donné la parole aux habitants sur ces sujets et ils avaient beaucoup de choses à dire", indique l’élue d’opposition, "notamment l’absence de lien entre la population et les élus".
Les informations glanées lui ont aussi permis de construire son projet. Ce dernier est axé autour de deux grands axes. Le premier, la famille, une thématique "chère" à la professeure des écoles. "Notre volet famille commence par la petite enfance où avons un objectif clair: augmenter les places en crèches afin de permettre aux jeunes parents de travailler sans avoir un mode de garde compliqué. Pour les personnes âgées, nous sommes convaincus que les seniors sont une richesse et nous devons profiter de cette situation. On constate aussi qu’elles sont isolées, pas de compagnie en journée", déplore Céline Sitouze qui compte s’appuyer sur le réseau de Cases ou de fêtes de la commune pour offrir aux jeunes et moins jeunes de l’animation. Autres mesures de ce volet: un tarif unique pour la cantine scolaire à 5 euros par mois, l’inclusion des personnes en situation de handicap à travers des subventions aux associations, l’accès "à une eau potable de qualité à toutes les familles", l’embellissement du cadre de vie dans les quartiers ou encore la réfection des routes et des trottoirs. Concernant l’emploi, si elle reconnaît que la commune est "attractive", Céline Sitouze souhaite que les emplois créés "profitent au maximum aux Sainte-Mariens" via la mise en place avec les entreprises d’une "stratégie communale pour l’emploi effectif des Sainte-Mariens".
Deuxième grand axe de son programme, faire de Sainte-Marie une ville "qui bouge, qui vit". "Nous avons de sérieux atouts: un front de mer agréable, du foncier disponible et une population dynamique. Nous souhaitons transformer Sainte-Marie en LA ville où il faut sortir", clame-t-elle. Une mutation possible explique la candidate en changeant tout d’abord "cette image de cité dortoir en construisant un espace de loisirs comportant des bars et des restaurants depuis l’hôtel de ville jusqu’au port de plaisance en passant par le Parc de Bois-Madame". L’hôtel de ville actuel, dont les activités vont être transférées à la cité administrative de Beauséjour, deviendra "un espace culturel et de concert" en centre-ville. "Au niveau sportif, certains zones manquent d’équipements notamment à Beauséjour où la mairie dispose encore du foncier. Nous voulons offrir à la population dans nos quartiers des activités sportives diverses qui plaisent aussi bien aux hommes qu’aux femmes", ajoute Céline Sitouze, qui souhaite que son programme "soit connu de tous les Sainte-Mariens". "Nous sommes aussi très investis sur le numérique grâce à notre site internet pour toucher un maximum d’électeurs. Nous utilisons aussi beaucoup les réseaux sociaux, où je publie chaque jour une vidéo intitulée ‘un jour une proposition’, où nous détaillons nos 30 propositions", conclut-elle.
Deuxième grand axe de son programme, faire de Sainte-Marie une ville "qui bouge, qui vit". "Nous avons de sérieux atouts: un front de mer agréable, du foncier disponible et une population dynamique. Nous souhaitons transformer Sainte-Marie en LA ville où il faut sortir", clame-t-elle. Une mutation possible explique la candidate en changeant tout d’abord "cette image de cité dortoir en construisant un espace de loisirs comportant des bars et des restaurants depuis l’hôtel de ville jusqu’au port de plaisance en passant par le Parc de Bois-Madame". L’hôtel de ville actuel, dont les activités vont être transférées à la cité administrative de Beauséjour, deviendra "un espace culturel et de concert" en centre-ville. "Au niveau sportif, certains zones manquent d’équipements notamment à Beauséjour où la mairie dispose encore du foncier. Nous voulons offrir à la population dans nos quartiers des activités sportives diverses qui plaisent aussi bien aux hommes qu’aux femmes", ajoute Céline Sitouze, qui souhaite que son programme "soit connu de tous les Sainte-Mariens". "Nous sommes aussi très investis sur le numérique grâce à notre site internet pour toucher un maximum d’électeurs. Nous utilisons aussi beaucoup les réseaux sociaux, où je publie chaque jour une vidéo intitulée ‘un jour une proposition’, où nous détaillons nos 30 propositions", conclut-elle.