L'histoire se déroule au mois de septembre 2018. Un technicien de machines à sou pénètre dans une salle où sont entreposés différents matériels inutilisés, à l'arrière de la salle de jeu, dont un plateau de jeu de boules posé contre le mur. Un ustensile qui pèse quand même la bagatelle de près de 200kg !
La direction avait pris le soin de placer des barrières pour empêcher quiconque de s'en approcher. Bizarrement, ces dernières avaient disparu peu de temps avant l'accident. Qui les a enlevées ? Aujourd'hui, le doute est permis.
Soudain, le casino retentit des cris de douleur de l'employé. Le plateau vient de lui tomber dessus.
Aux premières personnes venues lui porter secours, il déclarera qu'il l'a simplement heurté avec son chariot et que ça a suffi à le déséquilibrer et à le faire tomber sur lui.
Il s'agit manifestement d'un accident du travail mais cela ne suffit pas à l'employé. Il décide de porter plainte contre son patron et contre la Sécurité sociale pour faute inexcusable, ce qui peut lui permettre d'espérer une grosse indemnisation.
A l'appui de sa plainte, il fournit les témoignages de son propre père, également employé au casino, ainsi que de deux employés qui attestent des mauvaises conditions de sécurité, selon eux, dans l'établissement.
Le plan machiavélique aurait pu marcher s'il n'y avait eu une caméra de vidéosurveillance dans la pièce qui avait tout enregistré.
Sur les images (voir ci-dessous), on voit clairement que l'employé indélicat ne touche pas le plateau avec son chariot. Il prend bien soin de le pousser à bonne distance.
Ensuite, on le voit agripper le plateau, le tirer vers lui jusqu'à ce qu'il commence à tomber.
Dans ce genre de situation, le réflexe naturel est de se mettre à l'abri en s'éloignant du danger. Pas du tout. Notre "victime" prend soin de glisser son corps sous le plateau, pour être bien sûr que ce dernier va l'écraser.
C'est l'an dernier que l'homme a porté plainte contre son patron pour faute inexcusable et contre la Sécurité sociale. L'affaire est passée au tribunal judiciaire de la Sécurité sociale il y a une quinzaine de jours. Si la faute du patron est retenue, ce qui nous étonnerait au vu de la vidéo, viendra ensuite l'heure de l'évaluation du préjudice subi. Ce qui risque de s'avérer difficile dans la mesure où l'homme en question est un motard qui a déjà fait dans le passé de multiples chutes ayant occasionné diverses fractures.
Voilà comment un crime parfait tourne en eau de boudin...
La direction avait pris le soin de placer des barrières pour empêcher quiconque de s'en approcher. Bizarrement, ces dernières avaient disparu peu de temps avant l'accident. Qui les a enlevées ? Aujourd'hui, le doute est permis.
Soudain, le casino retentit des cris de douleur de l'employé. Le plateau vient de lui tomber dessus.
Aux premières personnes venues lui porter secours, il déclarera qu'il l'a simplement heurté avec son chariot et que ça a suffi à le déséquilibrer et à le faire tomber sur lui.
Il s'agit manifestement d'un accident du travail mais cela ne suffit pas à l'employé. Il décide de porter plainte contre son patron et contre la Sécurité sociale pour faute inexcusable, ce qui peut lui permettre d'espérer une grosse indemnisation.
A l'appui de sa plainte, il fournit les témoignages de son propre père, également employé au casino, ainsi que de deux employés qui attestent des mauvaises conditions de sécurité, selon eux, dans l'établissement.
Le plan machiavélique aurait pu marcher s'il n'y avait eu une caméra de vidéosurveillance dans la pièce qui avait tout enregistré.
Sur les images (voir ci-dessous), on voit clairement que l'employé indélicat ne touche pas le plateau avec son chariot. Il prend bien soin de le pousser à bonne distance.
Ensuite, on le voit agripper le plateau, le tirer vers lui jusqu'à ce qu'il commence à tomber.
Dans ce genre de situation, le réflexe naturel est de se mettre à l'abri en s'éloignant du danger. Pas du tout. Notre "victime" prend soin de glisser son corps sous le plateau, pour être bien sûr que ce dernier va l'écraser.
C'est l'an dernier que l'homme a porté plainte contre son patron pour faute inexcusable et contre la Sécurité sociale. L'affaire est passée au tribunal judiciaire de la Sécurité sociale il y a une quinzaine de jours. Si la faute du patron est retenue, ce qui nous étonnerait au vu de la vidéo, viendra ensuite l'heure de l'évaluation du préjudice subi. Ce qui risque de s'avérer difficile dans la mesure où l'homme en question est un motard qui a déjà fait dans le passé de multiples chutes ayant occasionné diverses fractures.
Voilà comment un crime parfait tourne en eau de boudin...