L'enquête publique de Bois Blanc, ouverte depuis le 5 septembre dernier, prend officiellement fin ce jeudi 6 octobre, comme prévu. Elle n'a donc pas été écourtée, comme l'avait demandé le député-maire de Saint-Leu. Une demande qui faisait suite à des suspicions, révélées dans la presse, de partialité de la part des commissaires-enquêteurs.
Si Thierry Robert avait alors décidé de ne plus les accueillir en mairie et d'alerter le préfet, lui demandant notamment de faire "toute la lumière sur les liens entre les commissaires et la SCRP avant le retour en mairie de la commission d'enquête", sa réponse a fait réagir l'homme politique.
Dans un communiqué, le député-maire reproche en effet à l'Etat de "maintenir l'opacité", en lui "imposant de poursuivre avec les mêmes commissaires" : "En réponse le Préfet a indiqué ce mardi 4 Octobre que 'les membres titulaires de la commission d'enquête siégeront de nouveau (...) le mercredi et le jeudi' et a précisé que 'l'absence de locaux ne permettraient pas au public de s'exprimer et serait donc fortement préjudiciable au déroulement de l'enquête'. Dont acte", écrit l'élu saint-leusien.
Il termine son communiqué en invitant le représentant de l'Etat "à faire respecter l'expression de la démocratie, essence même d'une enquête publique, bafouée dans ce dossier depuis le début".
Si Thierry Robert avait alors décidé de ne plus les accueillir en mairie et d'alerter le préfet, lui demandant notamment de faire "toute la lumière sur les liens entre les commissaires et la SCRP avant le retour en mairie de la commission d'enquête", sa réponse a fait réagir l'homme politique.
Dans un communiqué, le député-maire reproche en effet à l'Etat de "maintenir l'opacité", en lui "imposant de poursuivre avec les mêmes commissaires" : "En réponse le Préfet a indiqué ce mardi 4 Octobre que 'les membres titulaires de la commission d'enquête siégeront de nouveau (...) le mercredi et le jeudi' et a précisé que 'l'absence de locaux ne permettraient pas au public de s'exprimer et serait donc fortement préjudiciable au déroulement de l'enquête'. Dont acte", écrit l'élu saint-leusien.
Il termine son communiqué en invitant le représentant de l'Etat "à faire respecter l'expression de la démocratie, essence même d'une enquête publique, bafouée dans ce dossier depuis le début".