
Quatrième jour de grève à Carrefour Sainte-Clotilde. Ce mardi encore, une soixantaine de salariés - soutenus par l'UNSA et la CFDT - sont mobilisés sur les 350 que compte l'entreprise. Motif de contestation : les négociations annuelles obligatoires.
Carrefour proposait une augmentation des salaires de 0,5%, ce qui représenterait, selon les salariés, 85 centimes d'euros sur un salaire moyen d'hôtesse de caisse de 900 euros. Les grévistes estiment que la proposition faite par la direction n'est pas satisfaisante.
Le mouvement illimité a démarré lorsque les employés ont découvert que la direction avait statué sur une augmentation de 0,7%, sans concertation, alors qu'ils espéraient négocier une revalorisation salariale de l'ordre de 3%.
Ce mardi, les grévistes sont toujours mobilisés devant le magasin. Aucune caisse ne fonctionne. L'activité de la galerie commerciale n'est quant à elle pas impactée.
Un huissier est intervenu afin de constater le blocage. Les grévistes sont accusés de "délit d'entrave". Les salariés doivent être assignés en fin de matinée au tribunal. Selon Gaëlle Ollot, déléguée syndicale UNSA, "la direction refuse le dialogue social".
Carrefour proposait une augmentation des salaires de 0,5%, ce qui représenterait, selon les salariés, 85 centimes d'euros sur un salaire moyen d'hôtesse de caisse de 900 euros. Les grévistes estiment que la proposition faite par la direction n'est pas satisfaisante.
Le mouvement illimité a démarré lorsque les employés ont découvert que la direction avait statué sur une augmentation de 0,7%, sans concertation, alors qu'ils espéraient négocier une revalorisation salariale de l'ordre de 3%.
Ce mardi, les grévistes sont toujours mobilisés devant le magasin. Aucune caisse ne fonctionne. L'activité de la galerie commerciale n'est quant à elle pas impactée.
Un huissier est intervenu afin de constater le blocage. Les grévistes sont accusés de "délit d'entrave". Les salariés doivent être assignés en fin de matinée au tribunal. Selon Gaëlle Ollot, déléguée syndicale UNSA, "la direction refuse le dialogue social".