Une délégation de transporteurs est reçue par le vice-président de Région Dominique Fournel. Les blocages dans le BTP se poursuivent, même si cette journée de vendredi n’a vu aucun camion bloquer les entrées/sorties des sites de production Lafarge et Holcim.
"Traditionnellement dans le BTP, nous faisons le pont un lendemain de jour férié avant le week-end. Au vu de ce qui s’est passé depuis le début de semaine, c’était un moment plutôt bienvenu pour calmer les esprits", indique un professionnel du BTP.
En coulisses cependant, le travail de sape se poursuit. Jean Bernard Caroupaye et Joël Mongin, représentants d’une partie des transporteurs, devraient de nouveau entamer des discussions avec les directions des cimentiers ce soir.
Le dernier point d’achoppement entre les acteurs concerne la revalorisation du revenu minimum par journée de travail. Les transporteurs estiment ne toujours pas entrer dans leurs frais une fois toutes les charges déduites.
Si les négociations échouent encore ce week end, faut-il s’attendre au même scénario de blocage contre blocage lundi matin ? Jean Bernard Caroupaye n’a eu de cesse de manifester son intention de durcir le mouvement en cas d’échec.
De son côté, Jonathan Saminadin, président par intérim du collectif pour la défense des travaux publics et du transport tente de tempérer une escalade qui serait selon lui que préjudiciable pour le BTP. Sans rien dévoiler sur sa stratégie pour lundi, Jonathan Saminadin, précise simplement que de son côté, il consultera aussi les "petits transporteurs". Chacun tentera d'éviter un 3e jour de paralysie pour le BTP réunionnais.
"Traditionnellement dans le BTP, nous faisons le pont un lendemain de jour férié avant le week-end. Au vu de ce qui s’est passé depuis le début de semaine, c’était un moment plutôt bienvenu pour calmer les esprits", indique un professionnel du BTP.
En coulisses cependant, le travail de sape se poursuit. Jean Bernard Caroupaye et Joël Mongin, représentants d’une partie des transporteurs, devraient de nouveau entamer des discussions avec les directions des cimentiers ce soir.
Le dernier point d’achoppement entre les acteurs concerne la revalorisation du revenu minimum par journée de travail. Les transporteurs estiment ne toujours pas entrer dans leurs frais une fois toutes les charges déduites.
Si les négociations échouent encore ce week end, faut-il s’attendre au même scénario de blocage contre blocage lundi matin ? Jean Bernard Caroupaye n’a eu de cesse de manifester son intention de durcir le mouvement en cas d’échec.
De son côté, Jonathan Saminadin, président par intérim du collectif pour la défense des travaux publics et du transport tente de tempérer une escalade qui serait selon lui que préjudiciable pour le BTP. Sans rien dévoiler sur sa stratégie pour lundi, Jonathan Saminadin, précise simplement que de son côté, il consultera aussi les "petits transporteurs". Chacun tentera d'éviter un 3e jour de paralysie pour le BTP réunionnais.