Lundi 6 novembre 2017, il est 9 heures du matin et la circulation est dense sur le viaduc de Saint-Paul en direction du Nord. Sur la récente voie lente, Amandine et son amie se rendent à l'Université à bord d'une twingo grise lorsqu'un terrible carambolage se produit. Leur véhicule est pris en étau entre deux poids lourds. Un camion frigorifique a en effet été projeté par un semi-remorque transportant des roches sur l'arrière de leur citadine littéralement broyée.
Les premiers éléments avaient mis en évidence un problème de freinage à l'origine de la tragédie. Les deux jeunes filles avaient été désincarcérées pendant deux heures. Amandine, 20 ans, n'avait pas survécu. Le pronostic vital de son amie âgée de 23 ans était engagé.
Les premiers éléments avaient mis en évidence un problème de freinage à l'origine de la tragédie. Les deux jeunes filles avaient été désincarcérées pendant deux heures. Amandine, 20 ans, n'avait pas survécu. Le pronostic vital de son amie âgée de 23 ans était engagé.

Me Sébastien Navarro est l'avocat du mis en examen qui ne sera pas poursuivi
En étau entre deux poids lourds et une fourgonnette
Après une longue instruction, l'ordonnance de renvoi devant la juridiction correctionnelle du chauffeur du semi-semorque, Dimitri T., ainsi que du dirigeant de la société Incana qui exploitait les véhicules de transport, a été rendue. Des défaillances concernant l'entretien des véhicules seraient notamment reprochées au transporteur.
Par ailleurs, l'employé qui avait effectué le contrôle technique du véhicule responsable du carambolage mortel avait été mis en examen par la magistrate en charge de cette affaire.
Celui-ci avait un temps été au cœur du débat et sa responsabilité aurait pu être engagée, ce qu'à toujours combattu son avocat, Me Sébastien Navarro.
Selon nos informations, un non-lieu vient d'être rendu le concernant.
Après une longue instruction, l'ordonnance de renvoi devant la juridiction correctionnelle du chauffeur du semi-semorque, Dimitri T., ainsi que du dirigeant de la société Incana qui exploitait les véhicules de transport, a été rendue. Des défaillances concernant l'entretien des véhicules seraient notamment reprochées au transporteur.
Par ailleurs, l'employé qui avait effectué le contrôle technique du véhicule responsable du carambolage mortel avait été mis en examen par la magistrate en charge de cette affaire.
Celui-ci avait un temps été au cœur du débat et sa responsabilité aurait pu être engagée, ce qu'à toujours combattu son avocat, Me Sébastien Navarro.
Selon nos informations, un non-lieu vient d'être rendu le concernant.