
C'est un docteur espagnol qui est à l'origine d'une découverte majeure dans le domaine de la lutte contre le cancer du sein ainsi que d'autres cancers.
Javier Cortés, directeur du Centre international du cancer du sein de Barcelone, a publié un essai clinique probant basé sur l'innocuité et l'efficacité d'un médicament, le "trastuzumab deruxtecan", efficace notamment dans le traitement de cancers particulièrement agressifs, dont 20% des femmes sont atteintes.
Le traitement combine un médicament ciblé (trastuzumab) avec un médicament de chimiothérapie (deruxtecan). Le premier atteint précisément les cellules malignes, où s'exprime la protéine HER2, responsable du développement accéléré de la tumeur. Une fois sur place, la charge de chimiothérapie est libérée de manière localisée, ce qui détruit les mauvaises cellules sans trop endommager les saines.
L'une des principales avancées avec ce nouveau traitement est l'amélioration de la survie : chez 75,8 % des patients traités à 12 mois contre 34,1 % avec un traitement classique.
Les premières phases des tests d'analyse du "trastuzumab deruxtecan", développé par une alliance entre les sociétés pharmaceutiques Astrazeneca et Daiichi Sankyo, a été d'abord proposé aux cas les plus graves de la maladie, mais selon le docteur Cortés, "ce traitement est déjà à l'étude pour l'utiliser chez les personnes atteintes de tumeurs localisées, sans métastases".
Javier Cortés, directeur du Centre international du cancer du sein de Barcelone, a publié un essai clinique probant basé sur l'innocuité et l'efficacité d'un médicament, le "trastuzumab deruxtecan", efficace notamment dans le traitement de cancers particulièrement agressifs, dont 20% des femmes sont atteintes.
Le traitement combine un médicament ciblé (trastuzumab) avec un médicament de chimiothérapie (deruxtecan). Le premier atteint précisément les cellules malignes, où s'exprime la protéine HER2, responsable du développement accéléré de la tumeur. Une fois sur place, la charge de chimiothérapie est libérée de manière localisée, ce qui détruit les mauvaises cellules sans trop endommager les saines.
L'une des principales avancées avec ce nouveau traitement est l'amélioration de la survie : chez 75,8 % des patients traités à 12 mois contre 34,1 % avec un traitement classique.
Les premières phases des tests d'analyse du "trastuzumab deruxtecan", développé par une alliance entre les sociétés pharmaceutiques Astrazeneca et Daiichi Sankyo, a été d'abord proposé aux cas les plus graves de la maladie, mais selon le docteur Cortés, "ce traitement est déjà à l'étude pour l'utiliser chez les personnes atteintes de tumeurs localisées, sans métastases".