Les professionnels de la filière canne-sucre se sont entretenus aujourd’hui avec le ministre des Outre-mer, ses services et le conseiller Outre-mer du Premier ministre pendant plusieurs heures.
Lors de cette rencontre, le ministre a reconnu que l’État avait bien conscience du caractère structurant de la filière canne-sucre et des enjeux pour le territoire.
Il a également reconnu que le maintien des aides au niveau actuel n’était en effet plus suffisant. Il s’est notamment inquiété de la baisse importante des revenus des planteurs. Le ministre a par ailleurs indiqué que les acteurs de la filière avaient besoin de visibilité sur le long-terme, a minima sur toute la période de la prochaine convention canne 2022-2028.
Les professionnels de la filière et l’État doivent rapidement vérifier toutes les hypothèses et les éléments techniques afin que la décision politique puisse être prise.
Le ministre s’est engagé à ce que l’État apporte une réponse d’ici la fin du mois de février sur les besoins d’accompagnement supplémentaires, c’est-à-dire 20 millions d’euros pour les planteurs et 15 millions d’euros pour les industriels.
A propos du Comité Paritaire interprofessionnel de la Canne et du Sucre :
Le CPCS est l’interprofession de la filière canne-sucre. Organe paritaire, coprésidé par un planteur et par un industriel, le CPCS compte douze membres titulaires (et douze suppléants) désignés pour moitié par le collège des producteurs de canne et pour l’autre moitié par celui des industriels. Il est le lieu de dialogue et de construction des questions liées au développement de la filière canne sucre.
Lors de cette rencontre, le ministre a reconnu que l’État avait bien conscience du caractère structurant de la filière canne-sucre et des enjeux pour le territoire.
Il a également reconnu que le maintien des aides au niveau actuel n’était en effet plus suffisant. Il s’est notamment inquiété de la baisse importante des revenus des planteurs. Le ministre a par ailleurs indiqué que les acteurs de la filière avaient besoin de visibilité sur le long-terme, a minima sur toute la période de la prochaine convention canne 2022-2028.
Les professionnels de la filière et l’État doivent rapidement vérifier toutes les hypothèses et les éléments techniques afin que la décision politique puisse être prise.
Le ministre s’est engagé à ce que l’État apporte une réponse d’ici la fin du mois de février sur les besoins d’accompagnement supplémentaires, c’est-à-dire 20 millions d’euros pour les planteurs et 15 millions d’euros pour les industriels.
A propos du Comité Paritaire interprofessionnel de la Canne et du Sucre :
Le CPCS est l’interprofession de la filière canne-sucre. Organe paritaire, coprésidé par un planteur et par un industriel, le CPCS compte douze membres titulaires (et douze suppléants) désignés pour moitié par le collège des producteurs de canne et pour l’autre moitié par celui des industriels. Il est le lieu de dialogue et de construction des questions liées au développement de la filière canne sucre.