Ces 12 jours de réduction du temps de travail ont été obtenus lors du passage aux 35 heures : les agents travaillant alors 37 heures 30 par semaine, ces RTT permettent de compenser.
Hors de question donc de les supprimer pour les syndicats hospitaliers qui craignent l’épuisement des agents, déjà sous tension depuis plusieurs mois. Une fatigue qui pourrait avoir des répercussions sur les patients selon eux.
Ils ont d’ores et déjà voté contre lors du comité technique d’établissement mercredi dernier, et attendent désormais une nouvelle réunion du CTE (comité technique d'établissement) la semaine prochaine.
La suppression de ces jours de repos a été recommandée par le Comité Interministériel de la performance et de la modernisation de l’offre de soins. À cette mesure devrait bientôt s’ajouter la suppression d’une centaine de postes d’ici 2020. L’objectif étant d’atteindre un autofinancement de 10 millions d’euros supplémentaires en 2022.
Hors de question donc de les supprimer pour les syndicats hospitaliers qui craignent l’épuisement des agents, déjà sous tension depuis plusieurs mois. Une fatigue qui pourrait avoir des répercussions sur les patients selon eux.
Ils ont d’ores et déjà voté contre lors du comité technique d’établissement mercredi dernier, et attendent désormais une nouvelle réunion du CTE (comité technique d'établissement) la semaine prochaine.
La suppression de ces jours de repos a été recommandée par le Comité Interministériel de la performance et de la modernisation de l’offre de soins. À cette mesure devrait bientôt s’ajouter la suppression d’une centaine de postes d’ici 2020. L’objectif étant d’atteindre un autofinancement de 10 millions d’euros supplémentaires en 2022.