Cette dernière, face à la pénurie de néphrologues, va prochainement devenir une unité de médecine polyvalente. Ce qui mettra « encore à mal la population du Sud », dénonce Stéphane Casimir.
Le syndicaliste est rejoint dans sa démarche par le maire du Tampon, également membre honoraire du Parlement et cofondateur du CHU, André Thien-Ah-Koon. L’édile tamponnais a également écrit à Olivier Véran pour lui faire part de cette réorganisation, qu’il qualifie de « nouvel acte d’affaiblissement du pôle Sud du CHU ». « Il n’est pas acceptable de contraindre les habitants du Sud de se rendre à Saint-Denis en supprimant régulièrement des services existant sur le site Sud », indique TAK: