
Si un partenariat existe depuis plusieurs années entre la Chambre de commerce et d’industrie de La Réunion (CCIR) et Pôle Emploi, celui-ci a été officialisé ce mercredi par la signature d’une première convention cadre dont le but est de renforcer l’accompagnement des entreprises.
En effet, "quand les entreprises vont mieux, le chômage va mieux", affirme de président de la CCIR, Ibrahim Patel. Le but est donc de mieux accompagner la création et la reprise d’entreprises car c’est "dans les entreprises que peuvent se créer des emplois pérennes". Pour Michel Swieton, directeur régional de Pôle Emploi, nous sommes sur la bonne voie avec un taux de chômage qui a baissé et atteint aujourd’hui 24,6%. "L’économie réunionnaise se porte plutôt bien avec des entreprises qui se battent", affirme-t-il.
En 2015, 9 millions d’euros ont été investis par Pôle Emploi dans les aides aux demandeurs d’emplois porteurs d’entreprise. Cette année, ce sont 8 millions d’euros d’aides qui ont déjà été versés.
Une fois ces entreprises créées, elles cherchent des employés. Michel Swieton rappelle qu’il y a eu 5000 créations nettes d’emplois en 2015 grâce à de nouvelles entreprises.
65% d'insertion après l'apprentissage
Pour les entreprises existantes, une centaine de conseillers de Pôle Emploi se rendent sur le terrain pour comprendre leurs besoins et trouver des demandeurs d’emplois adaptés. Mais cela ne suffit manifestement pas. "Sur les 26.200 possibilités d’emplois qu’il y a eu cette année, 34% n’ont pas trouvé preneur, ajoute Ibrahim Patel, il faut que les demandeurs d’emplois soient mieux formés pour répondre aux demandes". En effet, la moitié des 19.000 jeunes inscrits à Pôle Emploi n’ont pas le niveau Bac.
D’où le développement de l’apprentissage prévu dans la convention. La CCIR rappelle que le taux d’insertion professionnelle moyen grâce à l’apprentissage dépasse 65% et que la CCIR est responsable pour 36% de la formation des apprentis réunionnais. Selon Pôle Emploi, l’apprentissage a globalement augmenté de 20% en un an.
Les quatre axes principaux de la convention sont donc l’apprentissage, la création et reprise d’entreprises (grâce aux aides et aux parcours d’accompagnement), l’échange globale d’information et la promotion et communication (par le biais d’actions classiques, forums et séminaires).
En effet, "quand les entreprises vont mieux, le chômage va mieux", affirme de président de la CCIR, Ibrahim Patel. Le but est donc de mieux accompagner la création et la reprise d’entreprises car c’est "dans les entreprises que peuvent se créer des emplois pérennes". Pour Michel Swieton, directeur régional de Pôle Emploi, nous sommes sur la bonne voie avec un taux de chômage qui a baissé et atteint aujourd’hui 24,6%. "L’économie réunionnaise se porte plutôt bien avec des entreprises qui se battent", affirme-t-il.
En 2015, 9 millions d’euros ont été investis par Pôle Emploi dans les aides aux demandeurs d’emplois porteurs d’entreprise. Cette année, ce sont 8 millions d’euros d’aides qui ont déjà été versés.
Une fois ces entreprises créées, elles cherchent des employés. Michel Swieton rappelle qu’il y a eu 5000 créations nettes d’emplois en 2015 grâce à de nouvelles entreprises.
65% d'insertion après l'apprentissage
Pour les entreprises existantes, une centaine de conseillers de Pôle Emploi se rendent sur le terrain pour comprendre leurs besoins et trouver des demandeurs d’emplois adaptés. Mais cela ne suffit manifestement pas. "Sur les 26.200 possibilités d’emplois qu’il y a eu cette année, 34% n’ont pas trouvé preneur, ajoute Ibrahim Patel, il faut que les demandeurs d’emplois soient mieux formés pour répondre aux demandes". En effet, la moitié des 19.000 jeunes inscrits à Pôle Emploi n’ont pas le niveau Bac.
D’où le développement de l’apprentissage prévu dans la convention. La CCIR rappelle que le taux d’insertion professionnelle moyen grâce à l’apprentissage dépasse 65% et que la CCIR est responsable pour 36% de la formation des apprentis réunionnais. Selon Pôle Emploi, l’apprentissage a globalement augmenté de 20% en un an.
Les quatre axes principaux de la convention sont donc l’apprentissage, la création et reprise d’entreprises (grâce aux aides et aux parcours d’accompagnement), l’échange globale d’information et la promotion et communication (par le biais d’actions classiques, forums et séminaires).