
Avec une forte croissance attendue de + 7,4% en 2011, le Mozambique est un pays où l'investissement "suscite de plus en plus l'intérêt des nombreuses entreprises réunionnaises" souligne Ibrahim Patel, président de la CCIR. En présence de l'ambassadeur de France au Mozambique, du chef de service économique du Mozambique et des directeurs de l'Agence française de développement basée dans la capitale Maputo, une "Journée pays Mozambique" a été organisée à la CCIR pour présenter les différentes possibilités d'investissements offertes aux entrepreneurs réunionnais.
Une journée visant à obtenir "un maximum d'informations sur les opportunités offertes par le Mozambique, mais également des éléments sur le climat des affaires dans ce pays", souligne-t-il. Avec 21 millions d'habitants répartis sur plus de 800.000 km2, une croissance forte et des perspectives fleurissantes, ce pays d'Afrique pourrait bien devenir une priorité dans les années à venir en matière d'investissements réunionnais. Déjà évoqué à plusieurs reprises, la Région a émis la possibilité d'ouvrir un bureau sur place, comme précédemment à Maurice, afin de favoriser les échanges entre la Réunion et le Mozambique.
Les perspectives semblent importantes, puisqu'une vingtaine d'entreprises françaises sont déjà présentes sur place, les exportations et importations entre les deux pays étant en forte augmentation (+ 15% pour les exportations et + 103% pour les importations pour un résultat global de près de 90 millions d'euros).
Certaines pistes ont été évoquées par la CCIR en matière d'opportunités d'affaires notamment dans le domaine de l'énergie, du charbon, des mines, hydrocarbures, tourisme, agriculture… Exemple réussi d'implantation, Abdéali Goulamaly représentant les entreprises Mauvilac et Armement des Mascareignes qui possède une ferme aquacole Océinde au Mozambique ou encore Yvan Mainix, président du groupe Fibres, qui exploite une scierie sur une surface de plus de 150.000 hectares. Des entrepreneurs qui ont reçu "les félicitations" de la CCIR pour leur audace entrepreneuriale au Mozambique.
Une visite de terrain à Maputo est prévue à la mi-novembre pour une durée de trois jours, visites de sites, rencontres,… seront programmées moyennant une participation financière des entreprises désirant se rendre sur place. Les secteurs principalement concernés par cette visite : l'agroalimentaire, l'environnement et les énergies.
Une journée visant à obtenir "un maximum d'informations sur les opportunités offertes par le Mozambique, mais également des éléments sur le climat des affaires dans ce pays", souligne-t-il. Avec 21 millions d'habitants répartis sur plus de 800.000 km2, une croissance forte et des perspectives fleurissantes, ce pays d'Afrique pourrait bien devenir une priorité dans les années à venir en matière d'investissements réunionnais. Déjà évoqué à plusieurs reprises, la Région a émis la possibilité d'ouvrir un bureau sur place, comme précédemment à Maurice, afin de favoriser les échanges entre la Réunion et le Mozambique.
Les perspectives semblent importantes, puisqu'une vingtaine d'entreprises françaises sont déjà présentes sur place, les exportations et importations entre les deux pays étant en forte augmentation (+ 15% pour les exportations et + 103% pour les importations pour un résultat global de près de 90 millions d'euros).
Certaines pistes ont été évoquées par la CCIR en matière d'opportunités d'affaires notamment dans le domaine de l'énergie, du charbon, des mines, hydrocarbures, tourisme, agriculture… Exemple réussi d'implantation, Abdéali Goulamaly représentant les entreprises Mauvilac et Armement des Mascareignes qui possède une ferme aquacole Océinde au Mozambique ou encore Yvan Mainix, président du groupe Fibres, qui exploite une scierie sur une surface de plus de 150.000 hectares. Des entrepreneurs qui ont reçu "les félicitations" de la CCIR pour leur audace entrepreneuriale au Mozambique.
Une visite de terrain à Maputo est prévue à la mi-novembre pour une durée de trois jours, visites de sites, rencontres,… seront programmées moyennant une participation financière des entreprises désirant se rendre sur place. Les secteurs principalement concernés par cette visite : l'agroalimentaire, l'environnement et les énergies.