Quelques heures après les déclarations de la candidate à la CCIR Myriam Boullay, Ibrahim Patel, joint par téléphone, réagit. Il affirme être “serein” quant à sa condition de candidat et revient sur plusieurs points.
Il assure être en règle : “Je suis candidat sur une de mes sociétés qui a plus de deux ans. Je ne suis pas assez fou pour aller dans cette voie-là”, déclare le président de la CCIR.
Concernant les accusations d’attaques envers son opposant, il répond : “Il parait que l’on passe notre temps à faire du sort. Chez moi, on n’a pas le temps de jouer à ce petit jeu là », précise le candidat.
Quant au supplément d’un journal local paru récemment, Ibrahim Patel soutient être totalement dans la légalité : « Il n’y a pas de code électoral à la chambre de Commerce, vous pouvez faire campagne jusqu’au 8 minuit ».
Pour Ibrahim Patel, il s’agit là d’une vengeance suite à son choix de renouveler sa liste pour l’élection. “Elle avait beaucoup d’amertume... », souligne-t-il avant de conseiller à Myriam Boullay d’aller battre le pavé pour convaincre les électeurs.