J'avoue que, de mémoire de lecteur, je n'avais jamais vu ça !
Le Quotidien d'aujourd'hui, jour de Noël, ne comporte que 52 pages. Et le JIR 56. Et encore faut-il compter là dedans 2 pages de programmes télé en plus puisque, apparemment les deux journaux ont décidé de ne pas paraitre demain. Le Quotidien l'annonce officiellement, tandis que le JIR ne dit rien, mais publie par avance les programmes télé du 25 décembre...
Et ça a été pareil tout au long du mois de décembre. Voire même pire encore. Combien de fois j'ai été étonné par le poids ridicule de l'édition du jour du Quotidien ou du JIR !
Souvenez-vous, les années précédentes, les éditions de nos quotidiens durant tout le mois de décembre étaient grosses comme des livres, tant elles regorgeaient de publicités. Au point qu'il fallait chercher avec une loupe les infos entre les pubs.
Fini tout ça, la crise est passée par là. Crise publicitaire sans aucun doute, et peut-être aussi crise des ventes pour certains.
Et il ne faut pas chercher ailleurs la raison de la non-parution de demain. Jusqu'ici, traditionnellement, le 1er mai était le seul jour de l'année où les journaux ne paraissaient pas. Faut croire qu'une fois faite la balance entre ce que coûte l'édition du journal (impression, salaires supplémentaires du fait que ce soit Noël, etc...) et le montant des recettes publicitaires, les patrons de journaux ont estimé qu'ils perdaient de l'argent et ont donc préféré ne pas sortir du tout.
Inquiétant quand on sait que le mois de décembre comptait souvent double, et même parfois plus encore, en terme de recettes pour nos deux quotidiens. Et que le mois de janvier, lui, est traditionnellement le pire mois de l'année...
Le Quotidien d'aujourd'hui, jour de Noël, ne comporte que 52 pages. Et le JIR 56. Et encore faut-il compter là dedans 2 pages de programmes télé en plus puisque, apparemment les deux journaux ont décidé de ne pas paraitre demain. Le Quotidien l'annonce officiellement, tandis que le JIR ne dit rien, mais publie par avance les programmes télé du 25 décembre...
Et ça a été pareil tout au long du mois de décembre. Voire même pire encore. Combien de fois j'ai été étonné par le poids ridicule de l'édition du jour du Quotidien ou du JIR !
Souvenez-vous, les années précédentes, les éditions de nos quotidiens durant tout le mois de décembre étaient grosses comme des livres, tant elles regorgeaient de publicités. Au point qu'il fallait chercher avec une loupe les infos entre les pubs.
Fini tout ça, la crise est passée par là. Crise publicitaire sans aucun doute, et peut-être aussi crise des ventes pour certains.
Et il ne faut pas chercher ailleurs la raison de la non-parution de demain. Jusqu'ici, traditionnellement, le 1er mai était le seul jour de l'année où les journaux ne paraissaient pas. Faut croire qu'une fois faite la balance entre ce que coûte l'édition du journal (impression, salaires supplémentaires du fait que ce soit Noël, etc...) et le montant des recettes publicitaires, les patrons de journaux ont estimé qu'ils perdaient de l'argent et ont donc préféré ne pas sortir du tout.
Inquiétant quand on sait que le mois de décembre comptait souvent double, et même parfois plus encore, en terme de recettes pour nos deux quotidiens. Et que le mois de janvier, lui, est traditionnellement le pire mois de l'année...