“Le chariot-type met tout simplement en évidence la dynamique concurrentielle qui existe entre les enseignes. Si on avait un doute sur ce jeu concurrentiel, on n’en a plus”.
“Et c’est évident que la problématique du pouvoir d’achat étant tellement sous les feux de la rampe, nous sommes dans un renforcement de comparaison des prix, les consommateurs pouvant les vérifier cela a un impact fort”.
Florence Rataud n’est pas surprise par l’écart qui se creuse entre les enseignes. Car, “certaines seraient plus attentives aux prix qu’ils pratiquent, d’autres sont sans doute moins chers sur des produits moins visibles dans le chariot-type”.
La porte-parole de la grande distribution réfute l’idée que l’échantillon de la cinquantaine de produits retenus pour le chariot-type, facilite un quelconque jeu de “hausse – baisse des prix” de la part des enseignes.
“Car, si l’on additionne les effets cumulés du chariot-type et du protocole d’accord signé dans le cadre des revendications récentes, nous ne sommes pas sur cinquante produits mais sur 300”.
“Cela signifie que la grande distribution joue vraiment le jeu de la concurrence et celui de la baisse des prix”.
Sur la vidéo, Florence Rataud précise aussi que “c’est aux consommateurs aussi d’être vigilants lors de leurs achats.
“Et c’est évident que la problématique du pouvoir d’achat étant tellement sous les feux de la rampe, nous sommes dans un renforcement de comparaison des prix, les consommateurs pouvant les vérifier cela a un impact fort”.
Florence Rataud n’est pas surprise par l’écart qui se creuse entre les enseignes. Car, “certaines seraient plus attentives aux prix qu’ils pratiquent, d’autres sont sans doute moins chers sur des produits moins visibles dans le chariot-type”.
La porte-parole de la grande distribution réfute l’idée que l’échantillon de la cinquantaine de produits retenus pour le chariot-type, facilite un quelconque jeu de “hausse – baisse des prix” de la part des enseignes.
“Car, si l’on additionne les effets cumulés du chariot-type et du protocole d’accord signé dans le cadre des revendications récentes, nous ne sommes pas sur cinquante produits mais sur 300”.
“Cela signifie que la grande distribution joue vraiment le jeu de la concurrence et celui de la baisse des prix”.
Sur la vidéo, Florence Rataud précise aussi que “c’est aux consommateurs aussi d’être vigilants lors de leurs achats.