
Bruno Cohen en veut aux articles "à charge" selon lui, parus dans la presse. "Je suis considéré comme l'escroc N°1", déplore-t-il. "Depuis cinq mois, on souffre à cause des articles qui sont sortis dans la presse réunionnaise. Nous avons de très grandes difficultés, des contrats annulés, les banques ne veulent plus nous financer... On est des pestiférés", assure-t-il.
Des médias qui selon lui ont trop écouté les arguments de la société Diane. "Diane et Puchalski (Cipres, ndlr) vous mentent. Diane était actionnaire de SFER jusqu'en avril 2011, à hauteur de 50%. En avril, je suis devenu actionnaire principal à hauteur de 96% des parts. Cécile Sauser (Diane) n'a pas voulu investir et a gardé 3% des parts. Le véritable enjeu, c'est qu'elle veut récupérer SFER ! Elle veut récupérer ses 50%.", explique Bruno Cohen.
Quant à Patrick Puchalski, cet exploitant de centrale photovoltaïque qui a décidé de créer une assoction, Ciprès, regroupant les exploitants s'estimant floués par SFER, il en prend aussi pour son grade. "C'est un menteur, un malade ! Il est manipulé par Diane. Son intérêt est simple : il réclame 80 euros par mois aux clients pour adhérer à son association".
"Diane n'a pas fait son boulot correctement"
Bruno Cohen a également tenté d'apporter des éléments de réponse par rapport aux inquiétudes de ses clients. Après tout, c'était l'objectif affiché de ce conseil d'administration à huis-clos. Concernant les nombreuses mises en demeures reçues par les exploitants réunionnais de la part du RSI, Bruno Cohen rejette la faute sur Diane. "Le problème du RSI est lié au statut fiscal que Diane a choisi pour les clients. Il n'auraient jamais dû être considérés comme commerçants. Nous, on fait du bâtiment. On n'était pas au courant du régime choisi par Diane". Il conseille donc à ses clients de se retourner contre la société.
"En tant que PDG de SFER, vis à vis de ce statut du RSI, je dis à aux clients qui s'estiment lésés par rapport à Diane de mener une action en justice à son encontre. Car Diane n'a pas fait son boulot correctement.", estime-t-il. Il a également assuré qu'il allait rencontrer Ibrahim Patel, président du RSI, très prochainement et que ce dernier "s'est engagé à prendre le dossier en considération".
Négocier le tarif avec EDF ?
Par rapport aux pertes des exploitants depuis le changement de tarif de rachat de l'électricité par EDF qui est désormais de 12 centimes depuis mars 2011, Bruno Cohen s'est également justifié. "Nos clients ne gagnent pas d'argent. Quant à notre société, elle perd 60 millions d'euros à cause de ces 12 cts", explique-t-il. Il propose à ses clients d'adhérer à une association qu'il a créé il y a deux ans, l'URPEI ((Union réunionnaise des producteurs d'énergie indépendants) dans "le but étant de négocier avec EDF pour que le tarif soit revu."
Le PDG rappelle aussi, par rapport aux inquiétudes des clients quant à la longueur de la procédure pour installer une centrale photovoltaïque que SFER respecte les délais prévus dans le contrat, puisque ceux-ci sont de 24 mois. "Le contrat est respecté. Les demandes de raccordement sont respectées", conclut-il.
Reste à savoir si les 1.059 exploitants réunionnais qui ont été conquis par l'offre de SFER ont été séduits par les explications de Bruno Cohen.
Des médias qui selon lui ont trop écouté les arguments de la société Diane. "Diane et Puchalski (Cipres, ndlr) vous mentent. Diane était actionnaire de SFER jusqu'en avril 2011, à hauteur de 50%. En avril, je suis devenu actionnaire principal à hauteur de 96% des parts. Cécile Sauser (Diane) n'a pas voulu investir et a gardé 3% des parts. Le véritable enjeu, c'est qu'elle veut récupérer SFER ! Elle veut récupérer ses 50%.", explique Bruno Cohen.
Quant à Patrick Puchalski, cet exploitant de centrale photovoltaïque qui a décidé de créer une assoction, Ciprès, regroupant les exploitants s'estimant floués par SFER, il en prend aussi pour son grade. "C'est un menteur, un malade ! Il est manipulé par Diane. Son intérêt est simple : il réclame 80 euros par mois aux clients pour adhérer à son association".
"Diane n'a pas fait son boulot correctement"
Bruno Cohen a également tenté d'apporter des éléments de réponse par rapport aux inquiétudes de ses clients. Après tout, c'était l'objectif affiché de ce conseil d'administration à huis-clos. Concernant les nombreuses mises en demeures reçues par les exploitants réunionnais de la part du RSI, Bruno Cohen rejette la faute sur Diane. "Le problème du RSI est lié au statut fiscal que Diane a choisi pour les clients. Il n'auraient jamais dû être considérés comme commerçants. Nous, on fait du bâtiment. On n'était pas au courant du régime choisi par Diane". Il conseille donc à ses clients de se retourner contre la société.
"En tant que PDG de SFER, vis à vis de ce statut du RSI, je dis à aux clients qui s'estiment lésés par rapport à Diane de mener une action en justice à son encontre. Car Diane n'a pas fait son boulot correctement.", estime-t-il. Il a également assuré qu'il allait rencontrer Ibrahim Patel, président du RSI, très prochainement et que ce dernier "s'est engagé à prendre le dossier en considération".
Négocier le tarif avec EDF ?
Par rapport aux pertes des exploitants depuis le changement de tarif de rachat de l'électricité par EDF qui est désormais de 12 centimes depuis mars 2011, Bruno Cohen s'est également justifié. "Nos clients ne gagnent pas d'argent. Quant à notre société, elle perd 60 millions d'euros à cause de ces 12 cts", explique-t-il. Il propose à ses clients d'adhérer à une association qu'il a créé il y a deux ans, l'URPEI ((Union réunionnaise des producteurs d'énergie indépendants) dans "le but étant de négocier avec EDF pour que le tarif soit revu."
Le PDG rappelle aussi, par rapport aux inquiétudes des clients quant à la longueur de la procédure pour installer une centrale photovoltaïque que SFER respecte les délais prévus dans le contrat, puisque ceux-ci sont de 24 mois. "Le contrat est respecté. Les demandes de raccordement sont respectées", conclut-il.
Reste à savoir si les 1.059 exploitants réunionnais qui ont été conquis par l'offre de SFER ont été séduits par les explications de Bruno Cohen.