Après avoir déposé sa requête en annulation le 14 novembre dernier, Bruno Cohen ne compte pas laisser tomber l’affaire et continue de réclamer que la totalité des bulletins recueillis par la liste d’Ibrahim Patel (Trajectoire TPE PME) soient annulés. Il a également déposé deux plaintes devant le Procureur de la République, pour délit de corruption privée et fraude électorale.
La tête de liste Union Péi affirme également que son opposant a menti lors de ses dernières déclarations à la presse. "Les taux de participation qu’ont annoncés Ibrahim Patel sont faux. Le taux de participation aux élections de la CCIR en 2010 est bien de 25,9%, et celui de 2016 est de 53,03%".
La tête de liste Union Péi affirme également que son opposant a menti lors de ses dernières déclarations à la presse. "Les taux de participation qu’ont annoncés Ibrahim Patel sont faux. Le taux de participation aux élections de la CCIR en 2010 est bien de 25,9%, et celui de 2016 est de 53,03%".

La "Stratégie Patel"
Bruno Cohen tient à expliquer ce qu’il appelle la "Stratégie Patel", qui aurait selon lui permis au Président de la CCIR sortant de remporter les élections. "Avant tout, il faut savoir que la base électorale est fausse. Le fichier de la base électorale n’a pas évolué, ne prenant pas en compte les radiations" avance-t-il. Une multitude d’enveloppes de vote auraient donc été retournées à la Préfecture, plus de 6.000 selon la tête de liste Union Péi, qui estime a "13.000 le nombre d’adresses erronées dans les fichiers".
La deuxième étape selon Bruno Cohen consiste à "placer des complices à la commission électorale. Puis les 40.000 enveloppes partent à destination des entreprises, dont 10.000 à 13.000 n’aboutiront jamais. Il pollue la préfecture avec le retour de ces enveloppes à la veille de la clôture du scrutin, et la-dedans, 5.000 à 6.000 enveloppes disparaissent et restent de côté pour être réinjectées dans le circuit."
"Une organisation mafieuse"
Ensuite, toujours selon lui, les enveloppes sont détournées et envoyées comme des votes. La requête en annulation des élections à la CCIR de Bruno Cohen repose d’ailleurs largement sur ce procédé, avec le témoignage devant huissier de Rico Vimbaye, ancien co-listier d’Ibrahim Patel. "J'affirme qu’il y a eu au moins 4.000 enveloppes détournées en faveur de la liste Patel. C’est une organisation mafieuse qui a été mise en place depuis cinq ans" conclut-il.
Ces accusations, Bruno Cohen les martèle depuis les élections. Rien de nouveau si ce n’est le futur témoignage probable de Paul Caro pour soutenir cette version. "J'attends avec impatience la plainte d’Ibrahim Patel" termine-t-il, assurant avoir lui aussi recueilli des attestations d’entreprises en nombre, stipulant ne pas avoir voté pour la liste Trajectoire TPE PME.
Bruno Cohen tient à expliquer ce qu’il appelle la "Stratégie Patel", qui aurait selon lui permis au Président de la CCIR sortant de remporter les élections. "Avant tout, il faut savoir que la base électorale est fausse. Le fichier de la base électorale n’a pas évolué, ne prenant pas en compte les radiations" avance-t-il. Une multitude d’enveloppes de vote auraient donc été retournées à la Préfecture, plus de 6.000 selon la tête de liste Union Péi, qui estime a "13.000 le nombre d’adresses erronées dans les fichiers".
La deuxième étape selon Bruno Cohen consiste à "placer des complices à la commission électorale. Puis les 40.000 enveloppes partent à destination des entreprises, dont 10.000 à 13.000 n’aboutiront jamais. Il pollue la préfecture avec le retour de ces enveloppes à la veille de la clôture du scrutin, et la-dedans, 5.000 à 6.000 enveloppes disparaissent et restent de côté pour être réinjectées dans le circuit."
"Une organisation mafieuse"
Ensuite, toujours selon lui, les enveloppes sont détournées et envoyées comme des votes. La requête en annulation des élections à la CCIR de Bruno Cohen repose d’ailleurs largement sur ce procédé, avec le témoignage devant huissier de Rico Vimbaye, ancien co-listier d’Ibrahim Patel. "J'affirme qu’il y a eu au moins 4.000 enveloppes détournées en faveur de la liste Patel. C’est une organisation mafieuse qui a été mise en place depuis cinq ans" conclut-il.
Ces accusations, Bruno Cohen les martèle depuis les élections. Rien de nouveau si ce n’est le futur témoignage probable de Paul Caro pour soutenir cette version. "J'attends avec impatience la plainte d’Ibrahim Patel" termine-t-il, assurant avoir lui aussi recueilli des attestations d’entreprises en nombre, stipulant ne pas avoir voté pour la liste Trajectoire TPE PME.
Bruno Cohen a publié une liste de 200 noms de sociétés pour lesquelles il pose la question du détournement de vote.


