Pour cette raison, le préfet Dominique Sorain a demandé à ce que les contrôles administratifs sur le terrain soient intensifiés. Une action qui a pour but non seulement de protéger la faune et la flore, mais aussi les producteurs, les consommateurs, et les titulaires de cartes de chasse et de pêche.
Une douzaine de services et établissements sont associés à l’effort de préservation, comme la DEAL, la DAAF, l’ONF ou la Réserve nationale marine. Les contrôles sont réalisés quotidiennement, de jour comme de nuit, et sont effectués aussi bien en milieu marin qu’en milieu campagnard ou forestier. Ils permettent d’éviter des dégâts irrémédiables au milieu naturel et d’assurer la préservation d’espèces comme le palmiste, la langouste, l’anguille ou le tangue.
Ils sont chaque jour une dizaines d’agents des différents services concernés à œuvrer en ce sens. Dans la nuit de lundi à mardi, un braconnier a d’ailleurs été intercepté.