
Rendez-vous est pris pour le mois prochain. Hier, la préfecture a organisé la première réunion sur la négociation du bouclier qualité-prix (BQP) avec les acteurs de la distribution.
Peu avant le début des négociations, des gilets jaunes ont demandé à participer à cette réunion. Ces derniers ont été reçus par le secrétaire général pour les affaires régionales (SGAR), Loïc Armand, juste après la dite réunion.
Pour rappel, ces négociations ont pour objectif de faire baisser de 10% le prix plafond de ce BQP, le faisant passer de 288 à environ 259 euros dans sa nouvelle mouture. Lors de sa venue à La Réunion en fin d'année dernière, la ministre des Outre-mer Annick Girardin avait notamment indiqué que les 20 produits les moins vendus de ce panier seront remplacés par des produits d'une gamme supérieure.
Le BQP a été mis en place dans le cadre de la loi relative à la régulation économique des Outre-mer du 20 novembre 2012, dite "loi Lurel". Son objectif est de lutter contre la vie chère qui peut parfois générer des prix de 20 à 30 % plus élevés qu’en métropole alors que le chômage est plus élevé et le pouvoir d’achat plus réduit à La Réunion.
Négociée chaque année, cette liste de produits fait l’objet d’un prix global maximum fixé par arrêté préfectoral, les commerçants étant libres de proposer un prix global inférieur pour faire jouer la concurrence.
Après la réunion d'hier, les différentes parties se retrouveront le 7 février. Deux autres réunions sont prévues avant la fin du mois prochain, où devrait être annoncé par le préfet Amaury de Saint-Quentin un accord tarifaire pour une entrée en vigueur en mars.
Peu avant le début des négociations, des gilets jaunes ont demandé à participer à cette réunion. Ces derniers ont été reçus par le secrétaire général pour les affaires régionales (SGAR), Loïc Armand, juste après la dite réunion.
Pour rappel, ces négociations ont pour objectif de faire baisser de 10% le prix plafond de ce BQP, le faisant passer de 288 à environ 259 euros dans sa nouvelle mouture. Lors de sa venue à La Réunion en fin d'année dernière, la ministre des Outre-mer Annick Girardin avait notamment indiqué que les 20 produits les moins vendus de ce panier seront remplacés par des produits d'une gamme supérieure.
Le BQP a été mis en place dans le cadre de la loi relative à la régulation économique des Outre-mer du 20 novembre 2012, dite "loi Lurel". Son objectif est de lutter contre la vie chère qui peut parfois générer des prix de 20 à 30 % plus élevés qu’en métropole alors que le chômage est plus élevé et le pouvoir d’achat plus réduit à La Réunion.
Négociée chaque année, cette liste de produits fait l’objet d’un prix global maximum fixé par arrêté préfectoral, les commerçants étant libres de proposer un prix global inférieur pour faire jouer la concurrence.
Après la réunion d'hier, les différentes parties se retrouveront le 7 février. Deux autres réunions sont prévues avant la fin du mois prochain, où devrait être annoncé par le préfet Amaury de Saint-Quentin un accord tarifaire pour une entrée en vigueur en mars.