
Dans ma bafouille précédente parue dans vos colonnes, je mets en évidence le manque de « relief » de VESPA 1er. Aujourd’hui, hélas , il y a une grosses crise de reconnaissance de la Présidence du Gabon.
La France doit s’exprimer à ce propos et c’est quelque part normal puisque la France entretient de forts liens économiques avec ce pays jadis sous influence parisienne. Mais voilà ! Pour le rayonnement de la France , sa crédibilité, et son autorité, il a été choisi un personnage au charisme « coincé ».
Comme vous, lecteur, j’ai écouté avec attention les propos dits « entre les dents » par notre ministre des Affaires Etrangères Jean-Marc Ayraut. Si « Bonjour tristesse », ce film de Otto Preminger, suit le fil conducteur de son titre, notre Ayrault , alias commandeur suprême de nos ambassadeurs et animateur de notre politique étrangère, pédale dans le marigot.
A son écoute, quel maque de charisme, quel engouement dissimulé…, quel engagement, quelle volonté de s’ affirmer ? Ce Ministre nommé à ce marocain prestigieux pour bons et loyaux services (à vérifier) rendus à François alors qu’il était premier ministre. Je frémis, alors que j’ouvre mon antenne sur ce personnage portant à lui seul la misère du Monde. Je subis un homme mal dans sa peau, maladroit, incohérent par prudence, mal engagé, obéissant aveuglément à Papa Hollande.
Aujourd’hui, la France besoin d’hommes de conviction et énergiques, surtout dans le domaine si sensible des Affaires Etrangères et qui doit revenir d’abord au Président, attribution régalienne. Notre lampiste confirme son impuissance, et notre Président, son incapacité à prendre position.
Alain NIVET
Bellepierre
La France doit s’exprimer à ce propos et c’est quelque part normal puisque la France entretient de forts liens économiques avec ce pays jadis sous influence parisienne. Mais voilà ! Pour le rayonnement de la France , sa crédibilité, et son autorité, il a été choisi un personnage au charisme « coincé ».
Comme vous, lecteur, j’ai écouté avec attention les propos dits « entre les dents » par notre ministre des Affaires Etrangères Jean-Marc Ayraut. Si « Bonjour tristesse », ce film de Otto Preminger, suit le fil conducteur de son titre, notre Ayrault , alias commandeur suprême de nos ambassadeurs et animateur de notre politique étrangère, pédale dans le marigot.
A son écoute, quel maque de charisme, quel engouement dissimulé…, quel engagement, quelle volonté de s’ affirmer ? Ce Ministre nommé à ce marocain prestigieux pour bons et loyaux services (à vérifier) rendus à François alors qu’il était premier ministre. Je frémis, alors que j’ouvre mon antenne sur ce personnage portant à lui seul la misère du Monde. Je subis un homme mal dans sa peau, maladroit, incohérent par prudence, mal engagé, obéissant aveuglément à Papa Hollande.
Aujourd’hui, la France besoin d’hommes de conviction et énergiques, surtout dans le domaine si sensible des Affaires Etrangères et qui doit revenir d’abord au Président, attribution régalienne. Notre lampiste confirme son impuissance, et notre Président, son incapacité à prendre position.
Alain NIVET
Bellepierre