
Hier, la Préfecture a annoncé les nouveaux tarifs du gazole qui passent dès aujourd’hui de 1,10€ à 0,90€. Le sans-plomb passe de 1,39€ à 1,24€. Par contre, le gaz reste à 20 €. Le collectif "Agir Pou Nout Tout" met en doute la transparence des prix des carburants et juge scandaleux le prix de la bonbonne de gaz qui ne comporte pourtant aucune taxe.
"La population attendait au moins 20 centimes de baisse autant pour le gazole que pour le sans-plomb. Non seulement, le compte n’y est pas, mais en plus on apprend que les consommateurs devront rembourser aux pétroliers et aux stations-services, 1 centime par litre de diesel, et 6 centimes par litre de sans plomb".
Jean Hugues Ratenon, président de "Agir Pou Nout Tout" se pose des questions quant à la transparence des prix fixés par la SRPP (Société Réunionnaise de Produits Pétroliers) : "Sommes-nous en train de payer leur condamnation de 41 millions d’euros d’amende pour entente illicite au détriment d’Air France ?"
En ce qui concerne le bidon de gaz, le grossiste paie à son fournisseur 5,8711 euros, tandis que le consommateur la paye 20 euros. "Nous constatons que le prix est multiplié par 4, alors qu’il n’y a aucune TVA ni octroi de mer" s’insurge Jean Hugues Ratenon, qui attend du gouvernement un regard plus critique sur la fixation des prix des produits de première nécessité dans notre contexte insulaire.
"La population attendait au moins 20 centimes de baisse autant pour le gazole que pour le sans-plomb. Non seulement, le compte n’y est pas, mais en plus on apprend que les consommateurs devront rembourser aux pétroliers et aux stations-services, 1 centime par litre de diesel, et 6 centimes par litre de sans plomb".
Jean Hugues Ratenon, président de "Agir Pou Nout Tout" se pose des questions quant à la transparence des prix fixés par la SRPP (Société Réunionnaise de Produits Pétroliers) : "Sommes-nous en train de payer leur condamnation de 41 millions d’euros d’amende pour entente illicite au détriment d’Air France ?"
En ce qui concerne le bidon de gaz, le grossiste paie à son fournisseur 5,8711 euros, tandis que le consommateur la paye 20 euros. "Nous constatons que le prix est multiplié par 4, alors qu’il n’y a aucune TVA ni octroi de mer" s’insurge Jean Hugues Ratenon, qui attend du gouvernement un regard plus critique sur la fixation des prix des produits de première nécessité dans notre contexte insulaire.