
La situation fait peine à voir. Depuis une dizaine d'années, à Bois-de-Nèfles Saint-Paul, un couple vit dans des conditions extrêmement précaires, avec ses deux enfants de 8 et 10 ans. Sans eau ni électricité, et sans aucun équipement, le logement de la famille est un véritable taudis.
Alerté ce vendredi par une habitante du quartier, Gilbert Babef, le président de l’association Clef, a été profondément choqué. Il confie n’avoir jamais vu ça. "On leur a apporté un colis alimentaire, ils n’avaient rien à manger. Ils dorment par terre et n’ont pas de toilettes. Pour l’eau, une voisine leur donne apparemment des bidons". S'il reconnait qu'il y a eu "des loupés", Gilbert Babef "n'accuse personne" et explique chercher avant tout des solutions.
Le logement, qui provient d’un héritage, se situe en bordure d’une ravine et n’est pas éligible à l’électricité. L’urgence est donc de trouver une nouvelle habitation à cette famille qui dispose d'environ 900 euros de ressources par mois. "On prend le dossier à zéro, on a pris contact avec le CCAS", explique-t-il, lançant un appel aux bailleurs sociaux afin qu’une solution durable puisse être mise à disposition de ce couple et de ses deux marmailles.
Dans un second temps, il s’agira d’aménager l’espace, car la famille ne dispose de rien, ni machine à laver, ni gazinière, ni frigo, ni télévision. L’association Clef, qui gère la Maison de l'Amitié de Saint-Paul, lancera alors un appel à la solidarité. "Il n'est pas acceptable que des gens vivent dans ces conditions en 2016", conclut Gilbert Babef.
Alerté ce vendredi par une habitante du quartier, Gilbert Babef, le président de l’association Clef, a été profondément choqué. Il confie n’avoir jamais vu ça. "On leur a apporté un colis alimentaire, ils n’avaient rien à manger. Ils dorment par terre et n’ont pas de toilettes. Pour l’eau, une voisine leur donne apparemment des bidons". S'il reconnait qu'il y a eu "des loupés", Gilbert Babef "n'accuse personne" et explique chercher avant tout des solutions.
Le logement, qui provient d’un héritage, se situe en bordure d’une ravine et n’est pas éligible à l’électricité. L’urgence est donc de trouver une nouvelle habitation à cette famille qui dispose d'environ 900 euros de ressources par mois. "On prend le dossier à zéro, on a pris contact avec le CCAS", explique-t-il, lançant un appel aux bailleurs sociaux afin qu’une solution durable puisse être mise à disposition de ce couple et de ses deux marmailles.
Dans un second temps, il s’agira d’aménager l’espace, car la famille ne dispose de rien, ni machine à laver, ni gazinière, ni frigo, ni télévision. L’association Clef, qui gère la Maison de l'Amitié de Saint-Paul, lancera alors un appel à la solidarité. "Il n'est pas acceptable que des gens vivent dans ces conditions en 2016", conclut Gilbert Babef.