En vacances chez sa mère à La Réunion depuis janvier dernier, il était en décompensation maniaque au moment des faits, a indiqué l’expertise médicale. Un état qui peut être marqué par des hallucinations, des délires et de grandes angoisses.
Dans la nuit du 27 au 28 janvier dernier, Julien a entrainé sa compagne dans une virée infernale en voiture. Coups, crachats, menaces… Le trentenaire s’est laissé aller à un déchaînement de violences sur sa compagne sous prétexte qu’elle avait regardé un autre homme. La jeune femme, qui avait auparavant déjà reçu des claques, a cette fois-ci eu une dent cassée.
Quelques semaines plus tard, dans la nuit du 5 février dernier, il s’en est pris à un couple dans la rue à Saint-Gilles. Julien a abordé de manière cavalière la jeune femme. Son compagnon qui est intervenu a reçu un coup de poing à la mâchoire. Un coup si violent que le joystick du fauteuil de la victime s'est brisé.
" Je n’avais pas vu qu’il était en fauteuil", avait-il lâché lors de la confrontation. "C’est la honte je m’excuse", a-t-il encore répété à la barre du tribunal. Au moment des faits, l’altération de son discernement n’est pas discutable. Incarcéré à Domenjod depuis deux mois, il suit désormais une psychothérapie et son nouveau traitement.
La question pour le parquet est de savoir si une fois libéré, il saura résister aux tentations. Huit mentions figurent à son casier pour conduite sous l'emprise de l'alcool, vol, usage de stupéfiants ou violences. 10 mois d’emprisonnement avec suivi socio-judiciaire comprenant une injonction de soins et l’interdiction d’entrer en contact avec la victime ont été requis.
Le tribunal a entendu le ministère public. Julien va donc rester en prison sans aménagement de peine. Il devra payer la somme de 300 euros de contravention mais aussi régler les frais médicaux, la réparation du fauteuil et 1 000 euros de préjudice moral à la victime du coup de poing. A l’attention de son ex-compagne, il devra s’acquitter de 1000 euros de provisions en attendant l’audience sur intérêts civils.
Dans la nuit du 27 au 28 janvier dernier, Julien a entrainé sa compagne dans une virée infernale en voiture. Coups, crachats, menaces… Le trentenaire s’est laissé aller à un déchaînement de violences sur sa compagne sous prétexte qu’elle avait regardé un autre homme. La jeune femme, qui avait auparavant déjà reçu des claques, a cette fois-ci eu une dent cassée.
Quelques semaines plus tard, dans la nuit du 5 février dernier, il s’en est pris à un couple dans la rue à Saint-Gilles. Julien a abordé de manière cavalière la jeune femme. Son compagnon qui est intervenu a reçu un coup de poing à la mâchoire. Un coup si violent que le joystick du fauteuil de la victime s'est brisé.
" Je n’avais pas vu qu’il était en fauteuil", avait-il lâché lors de la confrontation. "C’est la honte je m’excuse", a-t-il encore répété à la barre du tribunal. Au moment des faits, l’altération de son discernement n’est pas discutable. Incarcéré à Domenjod depuis deux mois, il suit désormais une psychothérapie et son nouveau traitement.
La question pour le parquet est de savoir si une fois libéré, il saura résister aux tentations. Huit mentions figurent à son casier pour conduite sous l'emprise de l'alcool, vol, usage de stupéfiants ou violences. 10 mois d’emprisonnement avec suivi socio-judiciaire comprenant une injonction de soins et l’interdiction d’entrer en contact avec la victime ont été requis.
Le tribunal a entendu le ministère public. Julien va donc rester en prison sans aménagement de peine. Il devra payer la somme de 300 euros de contravention mais aussi régler les frais médicaux, la réparation du fauteuil et 1 000 euros de préjudice moral à la victime du coup de poing. A l’attention de son ex-compagne, il devra s’acquitter de 1000 euros de provisions en attendant l’audience sur intérêts civils.