
Saint-Leu était reconnue comme une ville culturelle dynamique grâce au travail de nombreux acteurs. Malheureusement depuis 2008, la majorité municipale n'a pas su ou voulu accompagner les structures et acteurs culturels de la ville.
Huit ans plus tard, le constat est donc sans appel: Après le départ du Sakifo Festival à Saint-Pierre, Leu Tempo Festival est sur le point de disparaître à son tour.
La dix-huitième édition du Tempo Festival a confirmé ce manque de volonté politique. Faute de soutien significatif de la municipalité, le festival s'est déroulé pour la première fois sur quatre jours au lieu de cinq et la fet dan somin s'est résumée à une fet de tambours batucadas, tambours qui pour le journal le Quotidien, "ont littéralement vampirisé un cortège associatif qui nous avait habitués à plus d'éclectisme et de richesse".
Toujours dans le Quotidien de ce dimanche, le directeur du Séchoir dresse un bilan accablant qui sonne comme un désaveu à l'égard de la politique culturelle de la majorité municipale.En effet, le directeur du Séchoir, a le sentiment de revenir "trente ans en arrière" et s'inquiète de l'avenir du Tempo Festival et des 14 salariés du Séchoir, structure dont il dit ne pas vouloir "être le fossoyeur".
L'opposition municipale regrette cette situation préjudiciable pour notre commune et apporte son total soutien à l'équipe du Séchoir.
Joël PONTALBA
Conseiller municipal d'opposition
Huit ans plus tard, le constat est donc sans appel: Après le départ du Sakifo Festival à Saint-Pierre, Leu Tempo Festival est sur le point de disparaître à son tour.
La dix-huitième édition du Tempo Festival a confirmé ce manque de volonté politique. Faute de soutien significatif de la municipalité, le festival s'est déroulé pour la première fois sur quatre jours au lieu de cinq et la fet dan somin s'est résumée à une fet de tambours batucadas, tambours qui pour le journal le Quotidien, "ont littéralement vampirisé un cortège associatif qui nous avait habitués à plus d'éclectisme et de richesse".
Toujours dans le Quotidien de ce dimanche, le directeur du Séchoir dresse un bilan accablant qui sonne comme un désaveu à l'égard de la politique culturelle de la majorité municipale.En effet, le directeur du Séchoir, a le sentiment de revenir "trente ans en arrière" et s'inquiète de l'avenir du Tempo Festival et des 14 salariés du Séchoir, structure dont il dit ne pas vouloir "être le fossoyeur".
L'opposition municipale regrette cette situation préjudiciable pour notre commune et apporte son total soutien à l'équipe du Séchoir.
Joël PONTALBA
Conseiller municipal d'opposition