EELVR soulève le fait que les dégâts liés à une tempête comme Berguitta en janvier dernier pourraient être évités, ou du moins mieux appréhendés, à La Réunion. Le parti remet donc en cause la politique qui n’aurait pas de réelles préoccupations sociétales. C’est pourquoi EELVR a fait de nombreuses demandes. Comme la création d’un comité scientifique, afin de "mieux réfléchir à l’aménagement de notre territoire et ainsi veiller à une urbanisation plus adaptée". Il appelle également des constructions plus durables ainsi qu’à des moyens d’éducation citoyenne.
L’artificialisation des plages est pour EELVR un réel problème environnemental. "Amputer la plage de son compartiment d'arrière-plage conduit au déséquilibre de la plage, surtout dans une zone où elle a déjà du mal à se défendre contre les houles et courants du lagon", comme le souligne Mélissa Cousin, élue écologiste de Saint-Paul. Bien qu’en accord, EELVR n’a pas participé aux dernières manifestations, notamment à cause de l’état d’esprit négatif ambiant qui en est ressorti. Mais elle a tenu à demander à la mairie et à la préfecture "d'assainir la situation et de mener une réflexion globale pour une meilleure prise en compte des impacts environnementaux."
EELVR revient également sur le plan régional de prévention et gestion et de réduction des déchets (PRPGD). L’objectif de ce projet "zéro déchets" est que, d’ici 2030, aucun objet ne soit incinéré. Cependant, EELVR affirme que, pour ça, il faut mettre en place différentes étapes alternatives au cours des prochaines années. Elle parle notamment d’une collecte séparative des bio-déchets.
EELVR revient également sur la loi Transition énergétique. Pour elle, augmenter les taxes sur le prix du gazole n’est pas réellement la solution et revient notamment sur le fait que depuis des années les transports en commun sont sacrifiés, au dépens des routes.
C’est pourquoi, pour finir, elle revient également sur le projet de la route du Littoral. Selon EELVR, la Région a sous-estimé les difficultés liées à l’approvisionnement massif en roches. Des difficultés à trouver les matériaux mais aussi en termes de dégâts environnementaux.
L’artificialisation des plages est pour EELVR un réel problème environnemental. "Amputer la plage de son compartiment d'arrière-plage conduit au déséquilibre de la plage, surtout dans une zone où elle a déjà du mal à se défendre contre les houles et courants du lagon", comme le souligne Mélissa Cousin, élue écologiste de Saint-Paul. Bien qu’en accord, EELVR n’a pas participé aux dernières manifestations, notamment à cause de l’état d’esprit négatif ambiant qui en est ressorti. Mais elle a tenu à demander à la mairie et à la préfecture "d'assainir la situation et de mener une réflexion globale pour une meilleure prise en compte des impacts environnementaux."
EELVR revient également sur le plan régional de prévention et gestion et de réduction des déchets (PRPGD). L’objectif de ce projet "zéro déchets" est que, d’ici 2030, aucun objet ne soit incinéré. Cependant, EELVR affirme que, pour ça, il faut mettre en place différentes étapes alternatives au cours des prochaines années. Elle parle notamment d’une collecte séparative des bio-déchets.
EELVR revient également sur la loi Transition énergétique. Pour elle, augmenter les taxes sur le prix du gazole n’est pas réellement la solution et revient notamment sur le fait que depuis des années les transports en commun sont sacrifiés, au dépens des routes.
C’est pourquoi, pour finir, elle revient également sur le projet de la route du Littoral. Selon EELVR, la Région a sous-estimé les difficultés liées à l’approvisionnement massif en roches. Des difficultés à trouver les matériaux mais aussi en termes de dégâts environnementaux.