
Le mercredi 1er janvier était un jour férié et la presse écrite n'est donc pas parue ce jour là.
L'alerte rouge a été lancée jeudi 2 janvier, tôt le matin, ce qui fait que très peu de Réunionnais ont pu acheter leur journal. D'autant que les fourgonnettes de livraison n'ont certainement pas pu approvisionner tous les points de vente, alors que le temps était déjà très dégradé sur l'ile.
Et ce matin, ni le JIR ni le Quotidien n'étaient présents dans les boites aux lettres puisque les employés étaient bloqués chez eux hier soir par l'alerte rouge...
Nous aurons sûrement droit demain matin à deux éditions spéciales avec un maximum de photos, mais il n'empêche qu'elles arriveront longtemps après la bataille, alors que Bejisa sera déjà à plusieurs centaines de kilomètres de nos côtes.
Cruellement, la presse écrite a montré ses limites à l'occasion du passage de ce cyclone...
Pendant que nos confrères du JIR et du Quotidien étaient voués au mutisme et rongeaient leurs freins, les journaux en ligne comme Zinfos, Linfo ou Clicanoo ont multiplié par deux ou trois, selon les sites, leur nombre de connexions. Et tous les Réunionnais étaient scotchés derrière leurs postes de radio ou leurs écrans de télévision, les médias par essence les plus réactifs.
Dans un monde qui accélère, ceux qui n'arrivent pas à suivre le rythme risquent fort d'être contraints de lâcher prise...
L'alerte rouge a été lancée jeudi 2 janvier, tôt le matin, ce qui fait que très peu de Réunionnais ont pu acheter leur journal. D'autant que les fourgonnettes de livraison n'ont certainement pas pu approvisionner tous les points de vente, alors que le temps était déjà très dégradé sur l'ile.
Et ce matin, ni le JIR ni le Quotidien n'étaient présents dans les boites aux lettres puisque les employés étaient bloqués chez eux hier soir par l'alerte rouge...
Nous aurons sûrement droit demain matin à deux éditions spéciales avec un maximum de photos, mais il n'empêche qu'elles arriveront longtemps après la bataille, alors que Bejisa sera déjà à plusieurs centaines de kilomètres de nos côtes.
Cruellement, la presse écrite a montré ses limites à l'occasion du passage de ce cyclone...
Pendant que nos confrères du JIR et du Quotidien étaient voués au mutisme et rongeaient leurs freins, les journaux en ligne comme Zinfos, Linfo ou Clicanoo ont multiplié par deux ou trois, selon les sites, leur nombre de connexions. Et tous les Réunionnais étaient scotchés derrière leurs postes de radio ou leurs écrans de télévision, les médias par essence les plus réactifs.
Dans un monde qui accélère, ceux qui n'arrivent pas à suivre le rythme risquent fort d'être contraints de lâcher prise...