Le petit prodige du zouk (entre autres) à La Réunion a souhaité redonner vie à un standard de la musique locale du début du siècle. Barth remet au goût du jour "Vanessa et Magalie", de James, sorti en 2005. Le tube ragga de l'époque est en grande partie revisité au vu des tendances actuelles. Le synthé de la glorieuse mélodie du refrain est conservé, mais des touches d'afropop et surtout de kompa viennent agrémenter le fin arrangement musical.
Il s'agit par ailleurs de la première production de Barth avec le label Wagram Music France. Le clip de "Vanessa & Magalie" devrait sortir début août.
Les paroles ont aussi été en partie revues. Vanessa était décrite dès le début de la chanson de James comme une femme qui "fé bien cuire mangé" et qui "reste à la kaz" parce que "li aim nettoyé". Elle est maintenant "qualifiée pour tout ce qui dit une vie de qualité", ce qui semble ne plus définir véritablement un rôle et laisse une plus libre interprétation des attentes, désirs et compromis qui composent la vie de couple.
Certaines rimes de James ont été gardées, notamment celles qui ont conquis le public à l'époque : "Magalie, c'est une déesse au lit. Avec elle, c'est lentement mais toute la nuit. Elle connaît par coeur le Karma Sutra."
Barth a aussi rajouté un pont qui apporte un peu plus d'éléments sur les sentiments du protagoniste principal et sur le dilemme qu'il affronte : "J'en voulais qu'une, j'en ai eu deux. Je me suis perdu le jour des aveux. N'en choisir qu'une dans ce monde rude, rude, rude..."
En effet, l'inflation, les tensions autour de la signature de la convention canne et le retour de l'épidémie de covid à La Réunion, rendent une telle décision encore plus difficile à prendre qu'en 2005. (Cette dernière phrase est une invitation aux lecteurs à s'informer sur les sujets qui font l'actualité).
Certaines rimes de James ont été gardées, notamment celles qui ont conquis le public à l'époque : "Magalie, c'est une déesse au lit. Avec elle, c'est lentement mais toute la nuit. Elle connaît par coeur le Karma Sutra."
Barth a aussi rajouté un pont qui apporte un peu plus d'éléments sur les sentiments du protagoniste principal et sur le dilemme qu'il affronte : "J'en voulais qu'une, j'en ai eu deux. Je me suis perdu le jour des aveux. N'en choisir qu'une dans ce monde rude, rude, rude..."
En effet, l'inflation, les tensions autour de la signature de la convention canne et le retour de l'épidémie de covid à La Réunion, rendent une telle décision encore plus difficile à prendre qu'en 2005. (Cette dernière phrase est une invitation aux lecteurs à s'informer sur les sujets qui font l'actualité).