Tout commence le 23 décembre lors d’une opération de la police nationale. Les agents mènent leur action à l’hôpital Saint-Jacques à Rezé en Loire-Atlantique (44), avec vingt-quatre policiers mobilisés et deux chiens des stupéfiants.
Le résultat est maigre: Dix personnes contrôlées, trois bâtiments vérifiés et sept grammes de résine découverts. La Police Nationale a ensuite tweeté les résultats de l’opération, leur valant les railleries des internautes.
Mais Mathieu Kassovitz, connu pour ne pas tenir sa langue dans sa poche, a tweeté le lendemain : "Bande de bâtards. 7g !!! 24 policiers !!!!! Vous êtes une belle bande de bon à rien".
Le résultat est maigre: Dix personnes contrôlées, trois bâtiments vérifiés et sept grammes de résine découverts. La Police Nationale a ensuite tweeté les résultats de l’opération, leur valant les railleries des internautes.
Mais Mathieu Kassovitz, connu pour ne pas tenir sa langue dans sa poche, a tweeté le lendemain : "Bande de bâtards. 7g !!! 24 policiers !!!!! Vous êtes une belle bande de bon à rien".
Il n’en a pas fallu plus pour que le représentant syndical Unité SGP police FO, Yves Lefevre, décide d’interpeller le Ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb. La lettre, que s’est procurée LCI, a été diffusée sur Twitter.
Le syndicat policier y explique les motivations derrière le tweet-bilan de l’opération diffusé. Le secrétaire général demande, "au nom du respect de tous les policiers", de déposer plainte contre "l’auteur de ces propos intolérables". Il a à nouveau réclamé sur son compte twitter personnel qu’une plainte du Ministre soit déposée contre M. Kassovitz.
Le syndicat policier y explique les motivations derrière le tweet-bilan de l’opération diffusé. Le secrétaire général demande, "au nom du respect de tous les policiers", de déposer plainte contre "l’auteur de ces propos intolérables". Il a à nouveau réclamé sur son compte twitter personnel qu’une plainte du Ministre soit déposée contre M. Kassovitz.