
Réunis en conseil municipal, les élus de Saint-Pierre ont, avant de débattre des 30 affaires prévues à l’ordre du jour, souhaité alerter le gouvernement sur l’éventuelle baisse du nombre de contrats aidés.
Des contrats aidés que la municipalité juge essentiels "au bon déroulement de la rentrée scolaire". La baisse prévue de 75 % pèserait ainsi "gravement sur les budgets locaux".
Les élus du conseil municipal ont donc adopté une motion "demandant au gouvernement de reconduire pour cette année le même volume de contrats aidés que l'année précédente", "de prendre en compte le rôle d'amortisseur social" des contras aidés et "demandent à l'Etat de se ressaisir pleinement de sa compétence régalienne que constitue l'emploi".
Autre demande des élus Saint-Pierrois au gouvernement : "la mise en œuvre d’un pacte financier". L'annonce d'une nouvelle baisse des dotations de l’Etat et de la quasi suppression de la taxe d’habitation "aggravent la situation financière déjà exsangue des collectivités territoriales".
Un pacte financier garantirait ainsi "la stabilité des ressources des collectivités territoriales et de leurs groupements" tout en "respectant la liberté et la responsabilité des élus locaux conformément aux principes constitutionnels".
La réduction des volumes de la baisse des dotations de l’Etat pour les collectivités d’Outre-mer ainsi qu’une révision du calendrier ont également été demandées.
Des contrats aidés que la municipalité juge essentiels "au bon déroulement de la rentrée scolaire". La baisse prévue de 75 % pèserait ainsi "gravement sur les budgets locaux".
Les élus du conseil municipal ont donc adopté une motion "demandant au gouvernement de reconduire pour cette année le même volume de contrats aidés que l'année précédente", "de prendre en compte le rôle d'amortisseur social" des contras aidés et "demandent à l'Etat de se ressaisir pleinement de sa compétence régalienne que constitue l'emploi".
Autre demande des élus Saint-Pierrois au gouvernement : "la mise en œuvre d’un pacte financier". L'annonce d'une nouvelle baisse des dotations de l’Etat et de la quasi suppression de la taxe d’habitation "aggravent la situation financière déjà exsangue des collectivités territoriales".
Un pacte financier garantirait ainsi "la stabilité des ressources des collectivités territoriales et de leurs groupements" tout en "respectant la liberté et la responsabilité des élus locaux conformément aux principes constitutionnels".
La réduction des volumes de la baisse des dotations de l’Etat pour les collectivités d’Outre-mer ainsi qu’une révision du calendrier ont également été demandées.