

La réunion de cet après-midi ne devait pas déboucher sur des conclusions très significatives. Au final, une confirmation, annoncée du bout des lèvres, est finalement venue conjointement de la mairie de Saint-Paul et de la Préfecture : la flamme restera rouge tant que les moyens en mer, voire terrestres, suffisant ne seront pas en mesure de rassurer les pratiquants de sports nautiques et les baigneurs.
"Nous nous donnerons le temps qu'il faut" répète à l'envie l'adjoint Emmanuel Séraphin. A la question d'un nouvel accès à la baignade si aucune menace n'est détectée mardi matin, il répond que quoiqu'il arrive, avec ou sans observation de requins, le drapeau restera rouge.
Benoît Huber, directeur de cabinet du Préfet complète la réponse municipale. "Il sagit pour nous d'avoir la certitude de proposer des moyens de surveillance permanents sur site. Aujourd'hui, la présence d'un hélicoptère était vraiment exceptionnelle". Une expérience qui ne sera d'ailleurs pas renouvelée.
"Il faut d'autres zodiacs, des jets-ski car il faut penser à tous les aléas, les pannes" ajoute le représentant du Préfet. Après le matériel, les moyens humains sont également évoqués. "Nous avons une trentaine de profils intéressants via Pôle Emploi". Des personnes qui pourraient venir compléter le dispositif humain qui serait dédié complètement à l'observation des requins à proximité des zones de plage.
"Ce qui a été déployé ce matin est le maximum de ce que nous pouvions faire, à mi-chemin entre ce que fait l'Australie (observation uniquement terrestre) et l'Afrique du Sud (observation au niveau des postes MNS surrélevés et des patrouilles en mer)" continue Benoît Huber.
Comme pour justiifer que les autorités prennent à bras le corps la menace requin, sur les vies mais aussi sur l'impact économique, le directeur de cabinet précise, à l'attention des sceptiques, que "l'action se maintient sur un rythme important".
La réunion d'information avait aussi pour but de démystifier la rencontre semble-t-il furtive avec un squale ce matin. "Il y a bien eu un constat de fait ce matin. Je réponds à quelques réactions que j'ai pu entendre depuis sur le fait qu'il n'y aurait pas eu de rencontre avec le squale". "Nous nous donnerons le temps qu'il faut" répète à l'envie l'adjoint Emmanuel Séraphin. A la question d'un nouvel accès à la baignade si aucune menace n'est détectée mardi matin, il répond que quoiqu'il arrive, avec ou sans observation de requins, le drapeau restera rouge.
Benoît Huber, directeur de cabinet du Préfet complète la réponse municipale. "Il sagit pour nous d'avoir la certitude de proposer des moyens de surveillance permanents sur site. Aujourd'hui, la présence d'un hélicoptère était vraiment exceptionnelle". Une expérience qui ne sera d'ailleurs pas renouvelée.
"Il faut d'autres zodiacs, des jets-ski car il faut penser à tous les aléas, les pannes" ajoute le représentant du Préfet. Après le matériel, les moyens humains sont également évoqués. "Nous avons une trentaine de profils intéressants via Pôle Emploi". Des personnes qui pourraient venir compléter le dispositif humain qui serait dédié complètement à l'observation des requins à proximité des zones de plage.
"Ce qui a été déployé ce matin est le maximum de ce que nous pouvions faire, à mi-chemin entre ce que fait l'Australie (observation uniquement terrestre) et l'Afrique du Sud (observation au niveau des postes MNS surrélevés et des patrouilles en mer)" continue Benoît Huber.
Comme pour justiifer que les autorités prennent à bras le corps la menace requin, sur les vies mais aussi sur l'impact économique, le directeur de cabinet précise, à l'attention des sceptiques, que "l'action se maintient sur un rythme important".
Le lieutenant-colonel Dominique Fontaine précise : "Il s'agissait d'un squale presque aussi grand que le zodiac, soit un peu plus de 3,50m. Il a été observé à environ 300 mètres du bord de la plage des Roches Noires", un peu à droite du spot lorsque l'on fait face à la plage. Suffisant pour convaincre les sauveteurs de laisser la flamme rouge et interdire ainsi la baignade. Demain, les observations reprendront.