
Une réunion départementale s'était tenue fin avril entre les gérants des établissements du territoire et les services de la préfecture. Elle avait pour objectif de rappeler les obligations des exploitants en matière de respect des normes ERP (Établissement Recevant du Public) ainsi qu'en matière de sécurité de leur public au sein ainsi qu'aux abords de leurs établissements. Il a été rappelé qu'en cas de constatation de troubles à l'ordre public dans un périmètre proche des établissements, des mesures administratives seraient prises, celles-ci pouvant aller jusqu'à une fermeture administrative.
Mais ces dernières semaines, de violentes bagarres aux abords des boîtes de nuit ont éclaté et les vidéos ont été diffusées sur les réseaux sociaux.
Mais ces dernières semaines, de violentes bagarres aux abords des boîtes de nuit ont éclaté et les vidéos ont été diffusées sur les réseaux sociaux.
"La plus grande fermeté sera observée en cas de manquement aux règles"
"Si la préfecture continue de travailler en bonne intelligence avec les gérants des établissements pour mettre en place les conditions sécurisées d’accueil du public, la plus grande fermeté sera observée en cas de manquement aux règles ou de troubles à l'ordre public constatés. La sécurité du public n'est pas négociable", prévient la préfecture.
Un travail conjoint est actuellement en cours avec la sous-préfecture et la mairie de Saint-Paul, les forces de gendarmerie et les gérants des établissements de l'ouest pour veiller à ce qu'aucun débordement ne soit observé pendant les week-ends au sein des établissements où les derniers heurts ont pu être constatés.
"Si la préfecture continue de travailler en bonne intelligence avec les gérants des établissements pour mettre en place les conditions sécurisées d’accueil du public, la plus grande fermeté sera observée en cas de manquement aux règles ou de troubles à l'ordre public constatés. La sécurité du public n'est pas négociable", prévient la préfecture.
Un travail conjoint est actuellement en cours avec la sous-préfecture et la mairie de Saint-Paul, les forces de gendarmerie et les gérants des établissements de l'ouest pour veiller à ce qu'aucun débordement ne soit observé pendant les week-ends au sein des établissements où les derniers heurts ont pu être constatés.