
Qu’est-ce qui vous a décidé à briguer un quatrième mandat?
Je suis arrivé très jeune en politique. Aujourd’hui je suis quand même satisfait d’avoir pu donner une direction, une vision, une orientation à une petite commune qui n’avait pas de rayonnement. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Nous sommes une des communes qui a une fréquentation touristique croissante, annonciatrice de perpective de développement. Depuis 10 ans, n’avons pas augmenté la fiscalité. Nous sommes aussi en ce moment en pleine révision du PLU avec pour enjeux de veiller à ce que le cadre de vie soit maintenu. Nous avons aussi la problématique des logements insuffisants car nous sommes frappés par la loi SRU qui nous oblige à faire un certain nombre de logements qualitatifs pour accueillir le public.
Qu’est-ce qu'il vous reste à concrétiser?
Y a toujours des choses à faire. Pendant 20 ans, nous avons donné une image, une identité à l’Entre-Deux. Durant notre dernière mandature, nous avons réalisé à plus de 90% notre profession de foi donc nous nous projettons en 2026 avec la même conviction, la même volonté.
Le coeur de l’Entre-Deux, son activité économique, les atouts patrimoniaux, c’est le coeur de ville, c’est pour cela parce que ma liste s’appelle "Horizon 2026". Je souhaiterais également que la culture créole soit un des moteurs dans nos futurs investissements. Aujourd’hui, je ne dévoilerai pas mon projet phare sur la créolité mais il est bien avancé et je vous en-parlerai plus tard. Il est de notre devoir de protéger et transmettre cette histoire, cette culture, cet art de vivre, cette cohésion des différents peuples qui font la Réunion. Ce projet d’envergure économique sur l’identité créole aura une portée culturelle mais aussi pédagogique, ludique et intergénerationnelle.
Où en est le projet de téléphérique devant relier Dimitile à Bras Long ?
Pour le moment on le met en suspens. J’attends de voir ce qu'il se passe ailleurs sur Salazie notamment. On prend du recul et on regarde parce que c’est le fonctionnement qui m’interpelle.
Vous vous lancez dans ces municipales attaché à une étiquette?
Divers droite, j’ai toujours été divers droite donc je reste divers droite. C’est un choix. Les enjeux des municipales ne sont pas ceux des élections nationales. Etre sans étiquette, c’est se démarquer des partis politiques. Moi je ne me cache pas, je suis de droite mais mes trente autres colistiers sont sous l’étiquette "liste divers".
Vous disposez de soutien?
J’ai eu le soutien de Michel Fontaine tout récemment. Les autres viendront peut être mais ce n’est pas important lors d’une élection locale. L’important, c’est la population et ses élus en face.
Le mouvement des Gilets Jaunes, cette volonté de transparence, de davantage de participation citoyenne a changé quelque chose dans votre façon de faire campagne et de faire de la politique?
Le mouvement des Gilets Jaunes a eu une forte résonance. Les revendications, plus d’écoute, plus de proximité, je les conçois mais moi je le fais tout le temps. C’est un événement national et comme le magistrat de la ville est le pare-feu entre l’Etat et la population, nous, nous sommes les relais. Mais ne confondons pas, nous sommes tributaires de la législation nous ne faisons qu’appliquer.
Il y avait quand même des revendications bien locales, comme la volonté de transparence, davantage de poids des citoyens dans les décisions locales….
Toutes ces revendications, je les incarne, je n’attends pas les élections pour proposer quelque chose puis devenir inexistant. On a été sur le terrain tout le temps, on a réalisé notre programme. L’accompagnement de la population à notre niveau avec nos moyens, nous le faisons. Je reçois des gens toutes les semaines donc je l’ai fait à notre échelle.
Je suis arrivé très jeune en politique. Aujourd’hui je suis quand même satisfait d’avoir pu donner une direction, une vision, une orientation à une petite commune qui n’avait pas de rayonnement. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Nous sommes une des communes qui a une fréquentation touristique croissante, annonciatrice de perpective de développement. Depuis 10 ans, n’avons pas augmenté la fiscalité. Nous sommes aussi en ce moment en pleine révision du PLU avec pour enjeux de veiller à ce que le cadre de vie soit maintenu. Nous avons aussi la problématique des logements insuffisants car nous sommes frappés par la loi SRU qui nous oblige à faire un certain nombre de logements qualitatifs pour accueillir le public.
Qu’est-ce qu'il vous reste à concrétiser?
Y a toujours des choses à faire. Pendant 20 ans, nous avons donné une image, une identité à l’Entre-Deux. Durant notre dernière mandature, nous avons réalisé à plus de 90% notre profession de foi donc nous nous projettons en 2026 avec la même conviction, la même volonté.
Le coeur de l’Entre-Deux, son activité économique, les atouts patrimoniaux, c’est le coeur de ville, c’est pour cela parce que ma liste s’appelle "Horizon 2026". Je souhaiterais également que la culture créole soit un des moteurs dans nos futurs investissements. Aujourd’hui, je ne dévoilerai pas mon projet phare sur la créolité mais il est bien avancé et je vous en-parlerai plus tard. Il est de notre devoir de protéger et transmettre cette histoire, cette culture, cet art de vivre, cette cohésion des différents peuples qui font la Réunion. Ce projet d’envergure économique sur l’identité créole aura une portée culturelle mais aussi pédagogique, ludique et intergénerationnelle.
Où en est le projet de téléphérique devant relier Dimitile à Bras Long ?
Pour le moment on le met en suspens. J’attends de voir ce qu'il se passe ailleurs sur Salazie notamment. On prend du recul et on regarde parce que c’est le fonctionnement qui m’interpelle.
Vous vous lancez dans ces municipales attaché à une étiquette?
Divers droite, j’ai toujours été divers droite donc je reste divers droite. C’est un choix. Les enjeux des municipales ne sont pas ceux des élections nationales. Etre sans étiquette, c’est se démarquer des partis politiques. Moi je ne me cache pas, je suis de droite mais mes trente autres colistiers sont sous l’étiquette "liste divers".
Vous disposez de soutien?
J’ai eu le soutien de Michel Fontaine tout récemment. Les autres viendront peut être mais ce n’est pas important lors d’une élection locale. L’important, c’est la population et ses élus en face.
Le mouvement des Gilets Jaunes, cette volonté de transparence, de davantage de participation citoyenne a changé quelque chose dans votre façon de faire campagne et de faire de la politique?
Le mouvement des Gilets Jaunes a eu une forte résonance. Les revendications, plus d’écoute, plus de proximité, je les conçois mais moi je le fais tout le temps. C’est un événement national et comme le magistrat de la ville est le pare-feu entre l’Etat et la population, nous, nous sommes les relais. Mais ne confondons pas, nous sommes tributaires de la législation nous ne faisons qu’appliquer.
Il y avait quand même des revendications bien locales, comme la volonté de transparence, davantage de poids des citoyens dans les décisions locales….
Toutes ces revendications, je les incarne, je n’attends pas les élections pour proposer quelque chose puis devenir inexistant. On a été sur le terrain tout le temps, on a réalisé notre programme. L’accompagnement de la population à notre niveau avec nos moyens, nous le faisons. Je reçois des gens toutes les semaines donc je l’ai fait à notre échelle.