
L’Aveca est en parfait accord avec le Collectif “quand on parle du problème de la vie chère. Car, nous sommes tous consommateurs et nous avons tous vu notre pouvoir d’achat fondre comme neige au soleil”, dit son président. Mais, c’est leur seul dénominateur commun à ce jour.
“Car, les solutions proposées par le Cospar mettraient en péril les TPE qui constituent tout de même 90 % des entreprises locales. Augmenter ainsi de 200 € les bas salaires, c’est répercuter cette hausse sur tous les revenus”.
Si cette décision s’applique “cela signifie qu’il y aura des charges sociales et fiscales pour nos entreprises, et des impôts pour des foyers aujourd’hui non imposables. A terme, le remède ne sera-t-il pas pire que le mal ?”
“Car, on se trompe lorsqu’on compare la situation de La Réunion à celle des Antilles. S’il est vrai que nous avons les mêmes problèmes, la plupart de leurs origines n'est pas la même. A regarder de près, La Réunion, ce n’est ni La Guadeloupe, ni La Martinique”.
Parmi les solutions proposées, Laurent Boyer préfère un meilleur soutien aux entreprises et la création d’emploi, “par plus de transparence et de lisibilité de la commande publique pour créer de l'activité et des emplois. A ce sujet, nous n’avons pas d’informations sur le Plan pluriannuel d’investissement de la Région Réunion”.
Le président de l’Aveca pointe du doigt les collectivités locales. “Nos instances doivent privilégier les investissements qui produisent des richesses. Ce n’est pas le cas de la Maison des civilisations et de l’unité réunionnaise”.
“Ce projet aurait dû être réparti sur l’ensemble du territoire, tel qu’il est aujourd’hui il va occasionner un gros budget transport pour les écoles qui voudront se rendre à Plateau-Caillou, à Saint-Paul. C’est un point négatif pour l’environnement et le développement durable”.
Ce sont autant de problèmes que l’Aveca souhaite discuter avec le Collectif. “Nous demandons à rencontrer ses membres à partir du 6 mars”, souligne Laurent Boyer qui a confirmé la non participation de l’Aveca, à la mobilisation générale du 5 mars.
“Nous ne voulons pas prendre le risque d’être à l’origine de certaines dérives. Dans la presse, un parti politique adhérent au Collectif, à appelé les Réunionnais à se servir gratuitement dans les magasins, ce jour-là. Cette grève générale fait aussi peser la menace d’un blocage de l’économie de La Réunion, si la grève devait perdurer…”
“Car, les solutions proposées par le Cospar mettraient en péril les TPE qui constituent tout de même 90 % des entreprises locales. Augmenter ainsi de 200 € les bas salaires, c’est répercuter cette hausse sur tous les revenus”.
Si cette décision s’applique “cela signifie qu’il y aura des charges sociales et fiscales pour nos entreprises, et des impôts pour des foyers aujourd’hui non imposables. A terme, le remède ne sera-t-il pas pire que le mal ?”
“Car, on se trompe lorsqu’on compare la situation de La Réunion à celle des Antilles. S’il est vrai que nous avons les mêmes problèmes, la plupart de leurs origines n'est pas la même. A regarder de près, La Réunion, ce n’est ni La Guadeloupe, ni La Martinique”.
Parmi les solutions proposées, Laurent Boyer préfère un meilleur soutien aux entreprises et la création d’emploi, “par plus de transparence et de lisibilité de la commande publique pour créer de l'activité et des emplois. A ce sujet, nous n’avons pas d’informations sur le Plan pluriannuel d’investissement de la Région Réunion”.
Le président de l’Aveca pointe du doigt les collectivités locales. “Nos instances doivent privilégier les investissements qui produisent des richesses. Ce n’est pas le cas de la Maison des civilisations et de l’unité réunionnaise”.
“Ce projet aurait dû être réparti sur l’ensemble du territoire, tel qu’il est aujourd’hui il va occasionner un gros budget transport pour les écoles qui voudront se rendre à Plateau-Caillou, à Saint-Paul. C’est un point négatif pour l’environnement et le développement durable”.
Ce sont autant de problèmes que l’Aveca souhaite discuter avec le Collectif. “Nous demandons à rencontrer ses membres à partir du 6 mars”, souligne Laurent Boyer qui a confirmé la non participation de l’Aveca, à la mobilisation générale du 5 mars.
“Nous ne voulons pas prendre le risque d’être à l’origine de certaines dérives. Dans la presse, un parti politique adhérent au Collectif, à appelé les Réunionnais à se servir gratuitement dans les magasins, ce jour-là. Cette grève générale fait aussi peser la menace d’un blocage de l’économie de La Réunion, si la grève devait perdurer…”