L'interdiction de tout élevage de poules pondeuses en batterie d'ici 2025. C'est ce que demande l'association L214 dans un communiqué. Une demande appuyée par une nouvelle vidéo choc, dans laquelle l'animateur Stéphane Bern tire la sonnette d'alarme, rappelant que "les animaux sont des êtres sensibles", avant de laisser places à des images tournées il y a quelques jours dans un élevage industriel dans les Côtes-d'Armor.
Poules entassées, déplumées, becs coupés, cadavres en décomposition... "C'est une intolérable souffrance animale vécue par plus 30 millions de poules pondeuses par an", regrette l'animateur, soulignant toutefois que de nombreux groupes de la grande distribution se sont engagés à abandonner les oeufs de batterie dans les années à venir.
"En bout de chaîne, la responsabilité se trouve du côté du consommateurs", rappelle-t-il. Alors que "90% des français sont favorables à une interdiction de l'élevage en cage", Stéphane Bern invite à signer la pétition sur le site Stopcage.com pour l'inscrire dans la loi et ainsi "ranger ces pratiques au musée des horreurs".
L'association a par ailleurs fait savoir qu'elle entendait déposer une plainte pour mauvais traitements mais aussi introduire un recours en responsabilité contre l'Etat "pour faute du fait de son inaction et de sa tolérance aux manquements" dont le propriétaire de l'élevage s'est rendu coupable.
Poules entassées, déplumées, becs coupés, cadavres en décomposition... "C'est une intolérable souffrance animale vécue par plus 30 millions de poules pondeuses par an", regrette l'animateur, soulignant toutefois que de nombreux groupes de la grande distribution se sont engagés à abandonner les oeufs de batterie dans les années à venir.
"En bout de chaîne, la responsabilité se trouve du côté du consommateurs", rappelle-t-il. Alors que "90% des français sont favorables à une interdiction de l'élevage en cage", Stéphane Bern invite à signer la pétition sur le site Stopcage.com pour l'inscrire dans la loi et ainsi "ranger ces pratiques au musée des horreurs".
L'association a par ailleurs fait savoir qu'elle entendait déposer une plainte pour mauvais traitements mais aussi introduire un recours en responsabilité contre l'Etat "pour faute du fait de son inaction et de sa tolérance aux manquements" dont le propriétaire de l'élevage s'est rendu coupable.