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Avec le procureur Muller, une nouvelle ère?

Je vais ici vous faire partager l’expérience de deux victimes parmi d’autres avant l’ére du procureur Muller et pendant l’ère du procureur Muller. En 2005, un homme parvient à déposer plainte pour agression à l’encontre de son ex, alors que celle-ci se trouve à des dizaines de milliers de kilomètre, preuve irréfutable à l’appui. Cet […]

Ecrit par quisyfrottesypique – le jeudi 15 mai 2014 à 09H30

Je vais ici vous faire partager l’expérience de deux victimes parmi d’autres avant l’ére du procureur Muller et pendant l’ère du procureur Muller.
En 2005, un homme parvient à déposer plainte pour agression à l’encontre de son ex, alors que celle-ci se trouve à des dizaines de milliers de kilomètre, preuve irréfutable à l’appui. Cet homme est suivi déjà depuis cinq en psychothérapie régulière et ininterrompue.

En 2007 une juge des affaire familiales parvient à cautionner le don d’ubiquité de cet individu prétendant s’occuper de ses fils le mercredi , alors que dans ces dits créneaux , il est à des dizaines de kilomètres en psychothérapie régulière et ininterrompue..

En 2009, une vice-procureure parvient en dépit d’un arrêté irréfutable a validé une autre extravagance de ce suivi en psychothérapie régulière et ininterrompue déjà depuis près de 10ans et sanctionne la victime de cet individu.

En 2010, le jeu de plaintes diffamatoires se poursuit en dépit de preuve irréfutable. La juge d’instruction ( 2012) parvient à nouveau à sanctionner la victime du supposé plaignant . Le porteur de plainte diffamatoire est suivi est toujours en psychothérapie régulière et interrompue.
En 2012, le jeu de plaintes diffamatoires se poursuit en dépit de preuves irréfutables. La procureure saisie ( 2013), n’a que faire des antécédents. Perversité suprême, non seulement cette dernière sanctionne à nouveau la victime sous les yeux du pseudo-plaignant reconnu présentant des éléments dépressifs et en en psychothérapie régulière et ininterrompue depuis 13 ans déjà, mais en plus du Scénario machiavélique, pour donner un peu de crédibilité à sa plaidoirie elle sanctionne la victime à indemniser son agresseur et son harceleur (depuis 10 ans déjà) dans le cadre de l’article 475-1. La victime ne pouvait faire appel, car sans un sous pour faire appel , était sous la menace de branchement d’eau, et frisait la mise à la porte. Le détraqué jubile. La procureure reproche à la victime son indifférence vis-à-vis de son agresseur.

En mars 2013 , il y a refus du parquet d’intervenir pour harcèlement et escroquerie. Le parquet, le procureur autorise cette homme à dépouiller en toute légalité sa victime le mois suivant.
Cette victime, loin de comprendre le fonctionnement de cette justice, s’adresse au Garde des Sceaux. L’information redescend au tribunal. Elle n’est pas du goût des des magistrats impliqués dans le dossier qui vexés et sans état d’âme, pour manifester leur mauvaise humeur, font de l intimidation ( avril 2013) une arme effective.

L’ère avant Muller, pour pallier la non assistance absolue tant du procureur, que du parquet, que des magistrats et le détournement de la loi par les experts de facto, les victimes acquiert allègrement le statut d’accusé avec les soins dont les magistrats ont le secret pour crédibiliser des décisions arrêtées sans aucun fondement par une sanction quelconque du code pénal. – Le juge d’instruction ayant reçu preuve irréfutable lors de son instruction sans sanctionner le délinquant- Elles sont TOUT-PUISSANTES. Cet homme a sévi et sévit encore en toute impunité. Une question interpelle, les magistrats sont-ils au-dessus des loi?

Un juge d’instruction ( 2012) avec preuve en main de diffamation, comment qualifier un tel acte en laissant courir le délinquant?
Un procureur (2013) qui juge un dossier en ayant que faire de preuves irréfutables, en méprisant au plus haut point une victime?
Des plaintes et procédures tout azimut engagées en raison d’une paranoïa par un patient suivi en psychothérapie de manière régulière et ininterrompue depuis 14 ans. La justice perd t-elle la tête à ce point la tête autant que ce délinquant récidiviste qu’elle le couvre depuis plus d’une dizaine d’années? Combien d’autres victimes?

Avant l’ère Muller, le citoyen n’a que mépris des hommes en robe noire. Pourtant, Dieu seul sait le nombre de fois qu’assistance a été sollicitée dans le cadre de la loi du 9 juillet 2010. En demandant assistance, l’une des excuses fallacieuses donnée pour pallier ces insuffisances est  » la justice est aveugle » (sic). Donc si tel est le cas ( incapacité d’identifier des faits), elle ne peut en aucun cas être crédible, auquel cas, les hommes et les femmes qui caractérisent cette époque ne peuvent être crédibles. Ce qui permet de donner du sens au congés de maladie qui fleurissent au 5 avenue André Malraux.
Lors de l’ère Muller, un ami, qui depuis des années souhaitaient passer quelques heures avec ses fils depuis une dizaine d’année, a été victime d’une nouvelle plainte diffamatoire. A notre grande surprise, Monsieur le procureur Muller lui a répondu, enquête faite que la plainte qui avait été déposée à son encontre était sans fondement.

Ce Procureur professionnel a contre lui, l’armée de ceux qui ne le sont pas, qui ne l’ont jamais été, et qui ne le seront vraisemblablement jamais.
C’est la triste réalité , avant l’ère Muller. Sa présence illustre t-elle, une nouvelle ère qui prônent avec les vraies valeurs de la République. Tout est donc en son honneur.

CQFD

 

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