
On peut trouver l'information sur le site atlantico.fr : Une sénatrice Europe-Écologie Les Verts, Alima Boumediene-Thiery qui touche plus de 10.000 euros par mois, a écrit à Luc Chatel, le ministre de l'Education nationale, pour obtenir une faveur afin de faire admettre son fils dans un internat public sur Paris, en mettant en avant sa situation financière précaire...
"Avis négatif de l’assistante sociale" regrette Alima Boumediene-Thiery dans son courrier au ministre, dans lequel elle s’emploie à expliquer qu'elle a besoin de l’aide de l’Etat pour s’en sortir. "Je reverse chaque mois 1.200 euros au parti politique auquel j’appartiens, je paie également un crédit immobilier à hauteur de 1.500 euros (…) In fine, je dois vivre avec près de 2000 euros", explique t-elle.
En réalité nous explique Atlantico, le salaire net d’un sénateur s’élève à 5.400 euros par mois et surtout, chaque sénateur bénéficie de 6.240 euros de frais de mandat non imposables, hors dépenses de taxis prises en charge par le Sénat. Soit un total de 11.640 euros...
Ultime argument pour tenter d'apitoyer Luc Chatel, elle confie ne pas être certaine d’être reconduite dans son mandat au mois de septembre et craint donc de se "retrouver sans revenus"...
"Avis négatif de l’assistante sociale" regrette Alima Boumediene-Thiery dans son courrier au ministre, dans lequel elle s’emploie à expliquer qu'elle a besoin de l’aide de l’Etat pour s’en sortir. "Je reverse chaque mois 1.200 euros au parti politique auquel j’appartiens, je paie également un crédit immobilier à hauteur de 1.500 euros (…) In fine, je dois vivre avec près de 2000 euros", explique t-elle.
En réalité nous explique Atlantico, le salaire net d’un sénateur s’élève à 5.400 euros par mois et surtout, chaque sénateur bénéficie de 6.240 euros de frais de mandat non imposables, hors dépenses de taxis prises en charge par le Sénat. Soit un total de 11.640 euros...
Ultime argument pour tenter d'apitoyer Luc Chatel, elle confie ne pas être certaine d’être reconduite dans son mandat au mois de septembre et craint donc de se "retrouver sans revenus"...