
L’aumônier musulman, Ajam Ahkoun, mis en examen pour avoir tenté de distribuer du courrier entre un mari et sa femme, tous les deux incarcérés à Domenjod et interdits de communication, a été reconnu coupable. C’est alors qu’il se rendait dans le quartier des femmes avec un tapis de prière que les lettres ont été trouvées par une surveillante dans le tapis. L’enquête avait été ouverte en mars par le parquet de Saint-Denis.
Il dit avoir été amadoué par le mari qui a évoqué le handicap d’un de ses enfants. Mais selon d’autres détenues, ce ne serait pas la première fois que l’aumônier transporte des lettres et autres objets.
Ajam Ahkoun a été condamné à six mois de prison avec sursis et une interdiction d’exercer pour une durée de trois ans.
Il dit avoir été amadoué par le mari qui a évoqué le handicap d’un de ses enfants. Mais selon d’autres détenues, ce ne serait pas la première fois que l’aumônier transporte des lettres et autres objets.
Ajam Ahkoun a été condamné à six mois de prison avec sursis et une interdiction d’exercer pour une durée de trois ans.