Le virus n’est pourtant pas une maladie sexuellement transmissible et ne concerne pas seulement les communautés homosexuelles. Pour rappel, le virus Monkeypox, l’autre nom de la variole du singe, se transmet par contacts de la peau ou des muqueuses avec la peau lésée d’une personne infectée (boutons ou croûtes) et par les gouttelettes (salive, éternuements, postillons…).
Le schéma vaccinal est constitué de deux doses, espacées de 28 jours, schéma réduit à une dose pour les personnes ayant déjà été vaccinées contre la variole.
Au 8 juillet 2022, 721 cas de variole du singe étaient avérés dans l’Hexagone.
Les premiers symptômes ressemblent fortement à ceux d’une grippe ou d’un Covid-19 : maux de tête, fièvre, douleurs musculaires, frissons, ainsi qu’un gonflement des ganglions autour des oreilles, dans le cou et la nuque.
La période d’incubation peut aller de 5 à 21 jours. Les boutons apparaissent après les premiers symptômes et peuvent se manifester sur le corps en entier notamment les paumes et les plantes de pieds, le visage et le cuir chevelu.
Ces lésions peuvent toucher la région anogénitale et muqueuse buccale en fonction du mode de contamination.