
L’enquête ouverte pour abus d’autorité après le signalement de la policière responsable de la vidéosurveillance de la ville a été classée sans suite ce jeudi. Sandra Bertin affirmait avoir subi des pressions du ministère de l’Intérieur lors de la rédaction de son rapport sur l’attentat de Nice.
Le procureur de la République a étayé sa décision par le contexte tendu dans lequel les policiers et les enquêteurs parisiens auraient commencé l’enquête.
Une décision qui ne satisfait pas l’avocat de la policière, le maire de la ville, Christian Estrosi et son premier adjoint Philippe Pradal. Selon les informations du Figaro, une plainte devrait être déposée avec constitution de partie civile.
Sandra Bertin devrait quant à elle se présenter, le 7 juin prochain, devant le tribunal correctionnel de Paris, jugée pour diffamation. Bernard Cazeneuve, aujourd’hui Premier ministre mais aux moments des faits ministre de l’Intérieur, avait déposé plainte.
Le procureur de la République a étayé sa décision par le contexte tendu dans lequel les policiers et les enquêteurs parisiens auraient commencé l’enquête.
Une décision qui ne satisfait pas l’avocat de la policière, le maire de la ville, Christian Estrosi et son premier adjoint Philippe Pradal. Selon les informations du Figaro, une plainte devrait être déposée avec constitution de partie civile.
Sandra Bertin devrait quant à elle se présenter, le 7 juin prochain, devant le tribunal correctionnel de Paris, jugée pour diffamation. Bernard Cazeneuve, aujourd’hui Premier ministre mais aux moments des faits ministre de l’Intérieur, avait déposé plainte.