
Le maire du Port affiche ses ambitions pour 2016, "l’année de réalisation des projets de notre mandature", affirme-t-il en prélude d’un discours millimétré.
Cette fameuse ambition, c’est de "faire du Port une ville où il fait bon vivre". Entouré de la quasi-totalité de ses élus en ce vendredi matin, il promet de mener une nouvelle fois de front les problématiques environnementales qui ont déjà fait la Une en 2015.
Les regards se tournent inévitablement vers le bras de fer qui l’avait opposé à la Pyramide inversée et au groupement d’entreprises du BTP de la nouvelle route du littoral. Toujours "sans réponse" de ces derniers, Olivier Hoarau a annoncé qu’il lancera en 2016 une étude globale d’impact.
Trois axes sont définis dans cette étude. La qualité du sol, de l’eau et de l’air. "Nous allons lancer cette étude non pas pour gêner le chantier, encore moins pour pactiser avec les grands groupes - comme j’ai pu le lire dans un média - mais bien par préoccupation pour la population."
Le maire du Port "ne peut pas croire une seconde" que ni l’Etat, ni les autres collectivités concernées (Région, Département), ne participent financièrement à cette grande étude. En cas de défaillance de ces dernières, "nous lancerons une étude à nos frais, à la hauteur de nos moyens financiers", prévoit-il.
Le discours inquiet du maire reste inchangé par rapport à janvier 2015, date de sa première mise en garde contre les centrales à béton implantées sur sa commune spécialement pour la NRL. Une manière pour le maire PLR d’introduire la problématique de la ressource en eau sur sa commune.
Sol pollué : un mystère à percer en 2016
"Les besoins du BTP représentent pas moins de 15% de la ressource accessible pour la ville et ça ne cesse d’augmenter. Il n’est pas question que les Portois subissent des coupures", prévient le maire, inquiet. "A ce jour, nous n’avons aucune garantie que ces centrales n’iront pas puiser dans les nappes phréatiques."
Autre inquiétude dans l’air, celle des émanations liées à l’activité industrielle. Là aussi la ville compte solliciter une station mobile de la qualité de l’air qui puisse donc coller à la réalité dynamique des sources de pollution industrielle.
Cette fameuse ambition, c’est de "faire du Port une ville où il fait bon vivre". Entouré de la quasi-totalité de ses élus en ce vendredi matin, il promet de mener une nouvelle fois de front les problématiques environnementales qui ont déjà fait la Une en 2015.
Les regards se tournent inévitablement vers le bras de fer qui l’avait opposé à la Pyramide inversée et au groupement d’entreprises du BTP de la nouvelle route du littoral. Toujours "sans réponse" de ces derniers, Olivier Hoarau a annoncé qu’il lancera en 2016 une étude globale d’impact.
Trois axes sont définis dans cette étude. La qualité du sol, de l’eau et de l’air. "Nous allons lancer cette étude non pas pour gêner le chantier, encore moins pour pactiser avec les grands groupes - comme j’ai pu le lire dans un média - mais bien par préoccupation pour la population."
Le maire du Port "ne peut pas croire une seconde" que ni l’Etat, ni les autres collectivités concernées (Région, Département), ne participent financièrement à cette grande étude. En cas de défaillance de ces dernières, "nous lancerons une étude à nos frais, à la hauteur de nos moyens financiers", prévoit-il.
Le discours inquiet du maire reste inchangé par rapport à janvier 2015, date de sa première mise en garde contre les centrales à béton implantées sur sa commune spécialement pour la NRL. Une manière pour le maire PLR d’introduire la problématique de la ressource en eau sur sa commune.
Sol pollué : un mystère à percer en 2016
"Les besoins du BTP représentent pas moins de 15% de la ressource accessible pour la ville et ça ne cesse d’augmenter. Il n’est pas question que les Portois subissent des coupures", prévient le maire, inquiet. "A ce jour, nous n’avons aucune garantie que ces centrales n’iront pas puiser dans les nappes phréatiques."
Autre inquiétude dans l’air, celle des émanations liées à l’activité industrielle. Là aussi la ville compte solliciter une station mobile de la qualité de l’air qui puisse donc coller à la réalité dynamique des sources de pollution industrielle.
L’autre signal inquiétant provient cette fois du sol. Plus évasif sur le sujet, le maire a tout de même dévoilé que des taux anormalement élevés de plomb ont été repérés sur certains secteurs. Il cite uniquement celui du Parc boisé. Mais pas de panique, l’exposition au plomb ne devrait pas présenter de danger s’il concerne un lieu de passage contrairement à une exposition permanente sur un lieu de vie. Les services de l’ARS doivent désormais percer le mystère sur cette teneur élevée. Une impression de déjà vu. L’épisode de décontamination de l’Oasis offre une piste sérieuse : il ne serait pas étonnant que ces zones aient été des dépôts sauvages à une certaine époque. Et des dépôts de batteries notamment.
Le budget investissement consommé dans sa quasi totalité
Ce premier rendez-vous de l’année a enfin été l’occasion de lister les réalisations de l’an passé. Olivier Hoarau se félicite d’avoir pu lever 80 millions d’euros en 2015 pour la ville. Une enveloppe globale dans laquelle on retrouve la concrétisation du Contrat de ville 2015-2020, la convention territoriale globale (avec la CAF), le projet éducatif global, le Pacte culturel (avec la DAC OI), ou encore la convention de déploiement du haut débit avec Zeop (des discussions sont par ailleurs en cours avec SFR).
Le maire estime à 83,4% le taux de réalisation du budget d’investissement sur l’exercice 2015. Des lignes budgétaires que les Portois retrouvent dans l’amélioration de la voirie, des écoles, des sites sportifs,… Le tout pour 4 millions d’euros de travaux réalisés.
Le budget investissement consommé dans sa quasi totalité
Ce premier rendez-vous de l’année a enfin été l’occasion de lister les réalisations de l’an passé. Olivier Hoarau se félicite d’avoir pu lever 80 millions d’euros en 2015 pour la ville. Une enveloppe globale dans laquelle on retrouve la concrétisation du Contrat de ville 2015-2020, la convention territoriale globale (avec la CAF), le projet éducatif global, le Pacte culturel (avec la DAC OI), ou encore la convention de déploiement du haut débit avec Zeop (des discussions sont par ailleurs en cours avec SFR).
Le maire estime à 83,4% le taux de réalisation du budget d’investissement sur l’exercice 2015. Des lignes budgétaires que les Portois retrouvent dans l’amélioration de la voirie, des écoles, des sites sportifs,… Le tout pour 4 millions d’euros de travaux réalisés.