
Le procès d'un père de famille qui est soupçonné d'avoir violé son ex-compagne alors qu'il avait interdiction de l'approcher a commencé ce mardi 15 juin devant la cour d'assises des Landes.
L'accusé est un Réunionnais de 29 ans. Il devait être jugé en 2020 mais suite à la grève des avocats et à la crise sanitaire, son procès, qui va durer quatre jours, a été renvoyé deux fois.
En avril 2016, la victime présumée avait découvert son ex-compagnon dans sa cuisine. Il venait de défoncer la porte fenêtre pour pénétrer dans le logement. Elle avait alors été bloquée, frappée puis violée alors que leur enfant de deux ans dormait dans la chambre, juste à côté.
La malheureuse avait déjà subi des violences par le passé, ce qui avait valu à son agresseur d'être condamné.
Avec 13 mentions à son casier judiciaire, l'homme avait été placé en détention provisoire à l'issue de sa mise en examen pour viol, puis, sous contrôle judiciaire. Pendant cette période, il aurait continué à menacer sa victime avec régularité.
Il est donc arrivé libre à l'audience criminelle, avant de s'installer dans le box des accusés. S'il a reconnu avoir commis des violences sur la mère de leur enfant, il a réfuté les faits de viol pendant toute la procédure, ainsi que l'indiquent nos confrères du quotidien Sud-Ouest.
La décision du jury populaire sera connue ce vendredi.
L'accusé encourt 20 ans de réclusion criminelle.
L'accusé est un Réunionnais de 29 ans. Il devait être jugé en 2020 mais suite à la grève des avocats et à la crise sanitaire, son procès, qui va durer quatre jours, a été renvoyé deux fois.
En avril 2016, la victime présumée avait découvert son ex-compagnon dans sa cuisine. Il venait de défoncer la porte fenêtre pour pénétrer dans le logement. Elle avait alors été bloquée, frappée puis violée alors que leur enfant de deux ans dormait dans la chambre, juste à côté.
La malheureuse avait déjà subi des violences par le passé, ce qui avait valu à son agresseur d'être condamné.
Avec 13 mentions à son casier judiciaire, l'homme avait été placé en détention provisoire à l'issue de sa mise en examen pour viol, puis, sous contrôle judiciaire. Pendant cette période, il aurait continué à menacer sa victime avec régularité.
Il est donc arrivé libre à l'audience criminelle, avant de s'installer dans le box des accusés. S'il a reconnu avoir commis des violences sur la mère de leur enfant, il a réfuté les faits de viol pendant toute la procédure, ainsi que l'indiquent nos confrères du quotidien Sud-Ouest.
La décision du jury populaire sera connue ce vendredi.
L'accusé encourt 20 ans de réclusion criminelle.