Lorsque la jeune femme a appris qu’elle était positive au VIH, elle a alors décidé de déposer plainte à l’encontre d’Eric M. Il sera jugé à partir de ce jeudi pour « administration d’une substance nuisible avec préméditation ou guet-apens suivie de mutilation ou d’infirmité permanente ». Si les faits ne souffrent d’aucune contestation, la cour d’assises aura a déterminer la question de la préméditation. L’accusé risque une peine de 15 ans de réclusion criminelle.
Eric M. sera défendu par Maitre Julien Barraco alors que les interêts de la partie civile, sont défendus par Maitre Marie Briot.