Attractivité, compétitivité, internationalisation: voilà les maîtres-mots de ce modèle économique réunionnais partagé entre la Région et les différents acteurs économiques. En créant cette fusion totale, ils souhaitent prouver leur ambition et que leur cohésion soit enfin entendue par le Gouvernement.
En effet, ils se sont alliés pour la constitution du livret bleu des Outre-mer, dans le cadre des Assises de l'Outre-mer. De manière générale, la Région veut sécuriser l'enveloppe globale de 2,5 millards d'euros, consacrée au développement économique de l'Outre-mer.
Ensemble, ils ont pour ambition de prouver la nécessité d'une meilleure attractivité du territoire, en passant notamment par une fiscalité mieux adaptée ou encore une mise à niveau des infrastructures, comme le grand port de La Réunion. Ils veulent vraiment passer un cap, en améliorant la compétitivité des entreprises réunionnaises.
Mais au-delà de favoriser le secteur économique réunionnais, ils tendent à une ouverture plus favorable à l'international. Le but est notamment de miser sur certains secteurs, comme le digital, en améliorant les investissements. Il faut un ancrage des politiques publiques plus important, afin d'accompagner les entreprises réunionnaises notamment dans les secteurs du BTP, des énergies renouvelables, de l'agroalimentaire ou encore de l'agrotourisme.
En effet, ils se sont alliés pour la constitution du livret bleu des Outre-mer, dans le cadre des Assises de l'Outre-mer. De manière générale, la Région veut sécuriser l'enveloppe globale de 2,5 millards d'euros, consacrée au développement économique de l'Outre-mer.
Ensemble, ils ont pour ambition de prouver la nécessité d'une meilleure attractivité du territoire, en passant notamment par une fiscalité mieux adaptée ou encore une mise à niveau des infrastructures, comme le grand port de La Réunion. Ils veulent vraiment passer un cap, en améliorant la compétitivité des entreprises réunionnaises.
Mais au-delà de favoriser le secteur économique réunionnais, ils tendent à une ouverture plus favorable à l'international. Le but est notamment de miser sur certains secteurs, comme le digital, en améliorant les investissements. Il faut un ancrage des politiques publiques plus important, afin d'accompagner les entreprises réunionnaises notamment dans les secteurs du BTP, des énergies renouvelables, de l'agroalimentaire ou encore de l'agrotourisme.
"Aujourd'hui La Réunion est à 3% de taux de croissance, mais elle peut encore mieux faire", confie Didier Robert, Président de la Région Réunion. Pour ça, il faut également que ce besoin et cette envie d'un meilleur développement économique soient combinés avec un impact environnemental totalement amoindri. Car économie et écologie sont intiment liées.
Au-delà de son intérêt économique, la Région souhaite montrer son soutien en développant notamment une enveloppe de 15 000 euros, qui permettra de finaliser les dossiers non aboutis à cause de la suppression des APL Accession. Concernant les autres budgets, les élus signeront le contrat de confiance pour l'organisation financière à la prochaine séance plénière la semaine prochaine.
Ces différents points seront transmis à la ministre des Outre-mer dans la journée avant de lui être officiellement remis lundi. Des rendez-vous auront lieu à l'Elysée les 27 et 28 juin pour faire un premier point sur les Assises de l'Outre-mer. S'en suivront ensuite au minimum 3 à 4 rencontres annuelles, avec un premier débriefing prévu en août. "A une semaine des Assises, nous sommes dans un timing parfait pour nous faire entendre", confie Didier Robert.
Au-delà de son intérêt économique, la Région souhaite montrer son soutien en développant notamment une enveloppe de 15 000 euros, qui permettra de finaliser les dossiers non aboutis à cause de la suppression des APL Accession. Concernant les autres budgets, les élus signeront le contrat de confiance pour l'organisation financière à la prochaine séance plénière la semaine prochaine.
Ces différents points seront transmis à la ministre des Outre-mer dans la journée avant de lui être officiellement remis lundi. Des rendez-vous auront lieu à l'Elysée les 27 et 28 juin pour faire un premier point sur les Assises de l'Outre-mer. S'en suivront ensuite au minimum 3 à 4 rencontres annuelles, avec un premier débriefing prévu en août. "A une semaine des Assises, nous sommes dans un timing parfait pour nous faire entendre", confie Didier Robert.